Lors que la dernière session de questions-réponses organisée par Facebook à Menlo Park, le 15 septembre 2015, Mark Zuckerberg n’a pas seulement évoqué le bouton « Je n’aime pas ». Pendant une heure, il a parlé filtrage des contenus sur le réseau social, réalité virtuelle, intelligence artificielle…
Réalité virtuelle et vidéo : pour le jeune patron, la vidéo et la réalité virtuelle sont les prochaines frontières de la communication. « Dans les cinq prochaines années, notre société va entrer dans l’âge d’or de la vidéo » et les outils de réalité virtuelle seront le meilleur moyen de partager des expériences. Ce qui a déjà été produit avec le developer kit pour Oculus est plein de promesses, a-t-il ajouté. « On pourra visiter les pyramides du Caire avec ses amis, jouer au ping-pong avec une personne dans une autre pièce… C’est assez dingue. Je suis vraiment excité de savoir que Facebook va jouer un rôle dans ce domaine. »
Intelligence artificielle : Mark Zuckerberg se dit plus optimiste que d’autres leaders du monde des high-tech. « Toutes les nouvelles technologies peuvent produire du bien ou du mal, mais je crois fondamentalement en la nature humaine et en notre capacité à les utiliser pour faire le bien. » Pour lui, l’intelligence artificielle pourrait très bien servir à diagnostiquer et soigner des maladies ou à éliminer les accidents de voiture.
Filtrage des contenus : Mark Zuckerberg reconnaît que Facebook a besoin de « filtrer les contenus potentiellement dérangeants de manière plus nuancée ». L’intelligence artificielle pourrait aider le réseau social à mieux personnaliser ce que chaque membre pourra voir et mieux filtrer les contenus perturbants. « Mais pour l’instant, il n’existe pas encore de programme permettant à un ordinateur de comprendre le contenu d’une photo comme un humain. Ca sera certainement possible dans les cinq ans à venir », a-t-il indiqué.
Source :
Facebook
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