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Etendue des règles IBM, grand perdant

Un serveur de politiques de qualité de service doit assurer une gestion optimisée de l’accès à des applications par des utilisateurs. Il lui faut donc les…

Un serveur de politiques de qualité de service doit assurer une gestion optimisée de l’accès à des applications par des utilisateurs. Il lui faut donc les identifier, selon le procédé adapté au contexte. Acceptés par tous, les mécanismes les plus traditionnels consistent à se baser sur les adresses IP des serveurs ou des utilisateurs, ainsi que sur les ports UDP (User datagram protocol) et TCP. Pour le contrôle de l’accès aux applications, seul OPS, de Nortel, supporte tous les mécanismes existants, y compris la reconnaissance de l’application par l’URL, le contenu des trames et les adresses MAC source et destination. Sur ces points, IBM et Cisco échouent. OPS se détache également par la richesse de ses mécanismes d’identification des utilisateurs, qu’il doit principalement à son intégration à NetID, un outil de gestion des adresses IP couplé à un serveur DNS (Domain name system)-DHCP (Dynamic host control protocol). Ce couplage permet l’établissement de liens dynamiques entre le nom de l’utilisateur, son identifiant (User ID) et son adresse IP allouée par le serveur DHCP ?” toutes ces informations étant stockées dans un annuaire LDAP (Lightweight directory access protocol). Ce mécanisme facilite l’identification d’un utilisateur nomade. Cisco possède aussi un outil de gestion des adresses IP (Network Registrar) dont l’intégration à QPM sera possible quand le protocole LDAP ou le futur annuaire de Microsoft seront présents.

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La rédaction