Les vainqueurs : on aime, on n'aime pas...

Canon DC10

On aime… la compacité

Amélioration indéniable, les caméscopes numériques sont de plus en plus petits. Le problème avec les modèles utilisant un DVD enregistrable, c’est que la taille du support d’enregistrement limite la miniaturisation.
L’encombrement et l’ergonomie générale sont donc limités par le DVD, mais Canon s’en sort relativement bien et gère cette contrainte avec succès : le DC10 est l’un des modèles les plus petits de notre comparatif

On aime… le mini DVD-R fourni

Déballez, chargez, filmez ! Si vous pensez que vous trouverez à coup sûr au moins un média dans la boîte du caméscope, vous vous trompez ! C’est en effet loin d’être la règle : très peu de fabricants en
livrent. De ce point de vue, Canon n’est pas chiche et fournit un DVD-R

On aime… la bonne qualité d’image

Dans le tableau de la page précédente, si vous vous reportez à la ligne intitulée Qualité des photos et des vidéos, vous verrez que la différence entre les modèles n’est pas très importante et, surtout, que les meilleures
notes ne sont pas très élevées. Seul le Canon DC10 est dans le ‘ vert ‘, avec une note de 6,1 sur 10. De plus, il obtient 7,8 sur 10 pour la qualité de ses prises de vue en mode vidéo et est, là encore,
le meilleur du comparatif

On aime… la télécommande fournie d’origine

Souvent considérée comme un ‘ gadget ‘, et généralement disponible uniquement en option, la télécommande d’un caméscope numérique est pourtant un outil intéressant. Posé sur un
trépied et bien placé, le caméscope peut ainsi se déclencher à distance, quand bon vous semble. Idéal pour les grandes occasions ! Encore une fois, merci Canon de fournir un accessoire trop souvent optionnel

On n’aime pas… la finalisation du DVD sur secteur

L’une des contraintes des caméscopes DVD est l’obligation de ‘ finaliser ‘ le DVD avant de pouvoir le lire sur une platine de salon. Malheureusement, Canon ajoute une autre
contrainte : le branchement obligatoire à une prise de courant lors de cette finalisation. Quel dommage !

Hitachi DZ-BX35E

On aime… le chargeur de batterie fourni

L’autonomie d’un caméscope numérique, c’est le nerf de la guerre. On apprécie donc de pouvoir recharger la batterie autrement que par l’intermédiaire du caméscope, avec un chargeur de batterie autonome, par exemple. Le
DZ-BX35E est livré avec ce type de périphérique, pratiquement indispensable si vous achetez une batterie supplémentaire : pendant que vous filmez avec une batterie, l’autre se recharge sur le secteur

On aime… le mini DVD-R fourni

Ce modèle d’Hitachi est lui aussi fourni avec un média enregistrable. C’est toujours appréciable lorsqu’on déballe le caméscope pour la première fois de ne pas être obligé, si on n’y a pas pensé avant, d’attendre d’avoir
acheté un DVD pour pouvoir s’en servir

On aime… le zoom optique de 25x

Avec un zoom optique d’une grande amplitude, comme sur ce modèle, il devient aisé d’isoler le détail d’une scène ou un personnage, sans pour autant faire l’impasse sur la qualité d’image, comme c’est le cas quand on utilise
un zoom numérique. En revanche, attention à ne pas trembler, car avec un zoom de ce type le moindre mouvement est amplifié, et vous risquez de donner la nausée à votre auditoire. Trépied indispensable !

On n’aime pas… l’absence de menu sur le DVD

Lorsque vous finalisez un film avec ce caméscope, ne comptez pas sur la présence d’un menu pour naviguer rapidement d’une séquence à l’autre avec votre platine DVD de salon : le Hitachi DZ-BX35E n’en crée pas

On n’aime pas… labsence de connecteur USB

Les caméscopes à DVD ne proposent que rarement une prise USB pour récupérer les vidéos. Et quand il y en a une, tout au plus sert-elle à transférer les photos. Avec le DZ-BX35E, même cette opération est impossible : il
est tout simplement dépourvu de prise USB

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La rédaction