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Messieurs les avocats, à vos plumes !

Beaucoup d’informations circulant dans l’entreprise sont jugées, à juste titre, comme confidentielles. Elles n’en sont pas moins communiquées à des tiers… bien identifiés : banques, avocats,…

Beaucoup d’informations circulant dans l’entreprise sont jugées, à juste titre, comme confidentielles. Elles n’en sont pas moins communiquées à des tiers… bien identifiés : banques, avocats, notaires, etc. Des corporations qui disposent d’une charte d’éthique respectée par leurs membres sous peine d’exclusion. Certains partenaires, fournisseurs ou clients, partagent aussi parfois les secrets de l’entreprise. Des contrats stipulent alors les engagements de confidentialité que doivent respecter les parties. En théorie, la fourniture d’applications hébergées (FAH) entre dans ce type de relation. Pourtant, on ne trouve nulle part sur le site OracleSalesOnline. com (lire p. 9) la moindre allusion au respect par Oracle de la confidentialité des données saisies dans son application (si ce n’est en termes de sécurité vis-à-vis du monde extérieur). Or, nous parlons là d’un logiciel pour forces de vente, pas de la liste des courses ! Il n’est pas question d’accuser Oracle de vouloir pirater les fichiers clients de ses utilisateurs. Mais, pour que les entreprises adhèrent au modèle FAH, il leur faudra quelques garanties. Messieurs les éditeurs, de grâce, consultez vos avocats !

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La rédaction