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” J’attends l’outil universel de poche “

Pascal Bernardon, DI du groupe Solendi (*), attend avec impatience la prochaine étape de convergence informatique-téléphone portable.

Quels sont les outils personnels dont vous ne pourriez plus vous passer ? Le premier est mon PC portable, grâce auquel je peux retrouver à tout moment l’historique du groupe, envoyer des télécopies, établir des budgets, ou réaliser des plannings. Il y a ensuite mon téléphone mobile, qui me permet d’être joignable partout, puis, bien sûr, l’accès à internet. Je dialogue de plus en plus par e-mail avec mes correspondants, et je passe à présent la plupart de mes commandes par le net.Quel est le progrès technique récent qui vous est le plus utile? Je n’en vois pas un spécialement attaché à l’année 2000. Je dispose de mes trois outils préférés depuis environ deux ans. Au début, bien sûr, je les utilisais essentiellement pour en découvrir les fonctionnalités. En revanche, aujourd’hui, je dois dire que j’aurais beaucoup de mal à m’en passer. J’apprécie particulièrement la possibilité offerte par le téléphone portable et le web de casser les barrières tant géographiques que temporelles. Lorsque, par exemple, certains jours, je souhaite rentrer chez moi plus tôt, mon domicile se transforme, grâce à eux, en un deuxième bureau.Quel est le produit, inexistant aujourd’hui, que vous réclameriez aux constructeurs ou aux éditeurs ? C’est un mixte des trois – PC portable, téléphone mobile et accès à internet – qui me conviendrait le mieux. A condition que ce produit soit puissant et qu’il tienne dans la poche. Les ” Palm ” d’aujourd’hui sont pour moi d’une utilisation trop limitée. Et les téléphones WAP sont bien, mais ils ne permettent pas d’afficher des messages de plus de cent soixante caractères.(*) Organisme collecteur du 1 % patronal, issu de la récente fusion des groupes français Aipal et Unipec.

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Propos recueillis par Christine Peressini