En novembre dernier, le c’est-à-dire son interprétation des faits relevés lors des semaines de plaidoirie. Les conclusions étaient alors apparues très défavorables à la société de Bill Gates.
Depuis, à travers plusieurs documents écrits, les deux camps ont peaufiné leurs Conclusions of Law. Concrètement, ils ont mis en regard les lois antitrust américaines avec les Findings of Facts du juge Jackson. Le but étant bien sûr pour Microsoft de démontrer son innoncence, et pour les plaignants de prouver la culpabilité de l’éditeur.
Pour le magistrat, il reste maintenant à déterminer si Microsoft est oui ou non coupable. Une décision qui pourrait nécessiter plusieurs semaines de réflexion et de rédaction.
En cas de jugement en défaveur de l’éditeur de Windows, il faudra entamer un nouveau processus juridique pour arrêter les sanctions, sans compter le très long, et quasi certain, processus d’appel. A moins d’un arrangement à lamiable, improbable, le procès Microsoft a donc encore de beaux jours devant lui.
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