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Test : Pinnacle simplifie la numérisation vidéo à l’extrême

Ce boîtier numérise les vidéos tellement simplement qu’un doigt suffit. Oubliez PC et cerveau, ils deviennent inutiles.

L'avis de 01net.com

Pinnacle Video Transfer

Les plus

  • + Pas besoin d'ordinateur
  • + Simple d'utilisation
  • + Compact

Les moins

  • - Pas de gestion du NTFS
Voir le verdict

Fiche technique

Pinnacle Video Transfer

Autonome Non
Alimentation Secteur
Indicateur d'autonomie Non
Câbles fournis Cinch
Chargeur secteur Oui
Voir la fiche complète

Pinnacle Video Transfer : la promesse

Numériser et transcoder une vidéo à la volée, sans PC et vers unappareil portable. C’est ce pour quoi le Video Transfer de Pinnacle estconçu, et ce, quelle que soit la source, vieux magnétoscope VHS, lecteurDVD, téléviseur, console… Mieux encore, il est censé le fairesimplement. Une crainte subsiste, un risque demeure, trop de simplicitépourrait peut-être nuire à la simplicité ?

Pinnacle Video Transfer : la réalité

Le branchement : épisode 1
Le plus dur, ou pour être
totalement honnête, la seule chose qui soit un peu compliquée touche au
branchement. Et encore n’est-ce pas le fait du boîtier Pinnacle, mais celui des appareils qu’on veut y brancher. Parce qu’on peut
virtuellement tout connecter à ce boîtier : un magnétoscope – vous
allez enfin pouvoir lire sur votre iPod cette vieille VHS que vous
connaissez par cœur, un lecteur de DVD – chouette de regarder sa série
préférée en déplacement sur sa PSP, une console – enfin vous allez
pouvoir montrer, vidéo à l’appui, à vos amis que vous êtes un dieu à
Halo.

Le branchement : épisode 2
Une fois le branchement de la
source vidéo opéré, ce qui devrait prendre environ trente secondes,
sans compter les travaux d’approche pour accéder à l’arrière du
magnétoscope, on passe au branchement du réceptacle. Ici, pas de PC ou
de Mac. On connecte en direct une clé ou un disque dur
USB, une PSP ou encore un iPod. Pour ce dernier deux remarques. Tout
d’abord, la connexion au Video transfer recharge sa batterie, ce qui
est une nouvelle. Ensuite, tous les modèles supportant la vidéo
fonctionnent en connexion directe, sauf l’iPod touch et l’iPhone. Pour
ces deux appareils, il faudra synchroniser la vidéo depuis iTunes.

Mais… Ca marche !
Avant de se lancer dans la grande
aventure du transcodage, on choisit un des trois niveaux de qualité
vidéo : bonne, supérieure ou optimale, qu’on peut également nommer
basse, moyenne et bonne pour être plus réaliste. Cela se fait d’une
pression répétée sur le bouton mode, qui sert également à allumer le
boîtier. Un jeu de trois diodes indique la qualité retenue. On lance
ensuite l’enregistrement en appuyant sur le bouton Rec, toutes les
diodes passent au rouge. Bien entendu, il faut lancer la lecture sur la
source ou commencer à jouer.
On se sent alors un peu désemparé. Quelques clignotements paresseux constituent la seule indication que quelque
chose se passe. A ce stade
de l’utilisation (la première), on se dit qu’un écran serait le
bienvenu. Mais une fois qu’on a fini de numériser/transcoder ce qu’on
voulait, qu’on a vu que tout marche si simplement, on réalise
qu’effectivement c’est inutile. Tout est automatique.

Le cerveau est dans le boîtier
C’est Video Transfer qui fait
tout. Qui choisit le format d’encodage (Mpeg-4/H264), qui choisit la
résolution (avec un maximum de 720 x 576 pixels et un minimum de 320 x
240 pixels) et, bien sûr, qui transcode le signal à la volée. Selon la
qualité retenue, les fichiers seront plus ou moins volumineux mais
jamais énormes. A titre indicatif, dix minutes de vidéo représentent
respectivement en basse, moyenne et haute résolution 65, 95 et 120 Mo.
Et la limitation du format de fichiers FAT32, imposée pour l’écriture
des fichiers par le Video Transfer, n’est finalement pas problématique,
même pour un film un peu long. Enfin, si, bien entendu la différence
est notable entre les différents niveaux de qualité, même le minimum
reste tout à fait regardable sur un petit écran d’iPod ou de PSP.

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