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Test : Mi-solaire mi-électrique, ce boîtier charge les batteries des appareils mobiles

Malgré un temps de charge un peu long au soleil, l’Apollo 2000 d’Oyama est l’accessoire de voyage indispensable.

L'avis de 01net.com

Oyama Apollo 2000

Les plus

  • + Le prix
  • + Le concept
  • + La capacité de la batterie interne

Les moins

  • - Rien

Appréciation générale

4 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 03/06/2009

Voir le verdict

Fiche technique

Oyama Apollo 2000

Autonome Oui
Alimentation Energie solaire
Indicateur d'autonomie Oui
Chargeur secteur Oui
Poids 220 g
Voir la fiche complète

Oyama Apollo 2000 : la promesse

Qui n’a pas déjà subi le désagrément d’un mobile entièrement déchargé alors qu’il n’y a pas de prise électrique à proximité? L’Apollo 2000 d’Oyama fait partie des quelques rares chargeurs actuellement disponibles sur le marché fonctionnant à l’énergie solaire. L’ultime solution pour ne jamais tomber en panne de batterie et, par la même occasion, faire des économies d’énergie? Nous avons testé ce produit pour le vérifier.

Oyama Apollo 2000 : la réalité

Il lui faut beaucoup de soleil…
Le fonctionnement du chargeur s’avère simplissime. Composé d’une batterie de type Li-polymer de 2000 mAh (environ deux fois celle d’un mobile comme l’iPhone), l’Apollo s’ouvre à la façon d’un livre, dévoilant deux panneaux solaires qu’il suffit de placer à la lumière pour débuter le chargement. Sous peine d’y passer la semaine, mieux vaut installer l’ensemble directement sous les rayons du soleil.
Le constructeur annonce une durée de six à huit heures pour recharger entièrement la batterie. Le ciel sans nuage de Tarbes, par 30 degrés, n’a pas suffit à cette mission. Le témoin de charge en façade n’annonçait en fin de journée que deux barres sur quatre. Conclusion: pour un fonctionnement exclusif à l’énergie solaire, mieux vaut s’y prendre à l’avance. En revanche, une fois l’Apollo chargé à bloc, sa capacité permet bien deux à trois utilisations (en fonction de la capacité de la batterie de l’appareil à recharger).

… ou une simple prise électrique
Dernière particularité de ce chargeur, très utile: il s’agit d’un produit hybride. Ceux qui habitent au-dessus de la Loire et qui n’ont pas forcément leur dose journalière de soleil apprécieront. L’Apollo est livré avec un adaptateur secteur et un câble USB. Il est donc possible de le recharger en le branchant sur une prise électrique standard, voire sur le port USB d’un ordinateur. Le temps de charge est alors beaucoup plus court (deux ou trois heures) et l’appareil d’Oyama se fait alors batterie de secours, un accessoire de voyage indispensable.
Seul regret, la housse fournie n’est pas assez grande pour contenir la batterie solaire, les embouts et le chargeur.

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