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Test : Le clavier pour joueur Deathstalker de Razer ne nous convainc pas

Avec le clavier Deathstalker, Razer ne signe pas un périphérique pour joueur mémorable . Nous n’avons pas apprécié le toucher offert par les touches ni le plastique utilisé.

L'avis de 01net.com

Razer Deathstalker

Confort d'utilisation

3 / 5

Equipement

2.5 / 5

Fonctions

3 / 5

Appréciation générale

3 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 10/01/2013

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Fiche technique

Razer Deathstalker

Type de souris / clavier Jeux
Interface USB
Touches multimédia 0
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Razer Deathstalker : la promesse

Le Deathstalker de Razer est l’un des derniers claviers pour joueur de la marque Razer. Existant en deux versions, l’une avec un écran LCD tactile et l’autre plus simple, c’est sur ce second que nous avons jeté notre dévolu. Avec ses touches séparées, rétroéclairées et son look épuré, il semble se concentrer sur l’essentiel. Un clavier idéal pour les joueurs à la recherche d’un outil simple mais efficace ? Voyons cela.

Razer Deathstalker : la réalité

Le Deathstalkler n’est pas le plus réussi des claviers pour joueur de Razer. La marque aux trois serpents nous avait habitués à mieux et, surtout, plus fin ! Une fois sorti du carton, le périphérique en plastique noir s’avère assez épais –presque grossier mais garantissant une bonne longévité- et prennant beaucoup de place une fois posé sur le bureau. Après l’avoir branché en USB à votre PC, toutes les touches s’illuminent de vert (intensité réglable) et la plupart des raccourcis multimédia (volume, lecture, pause, etc) sont tout de suite fonctionnels.
Ainsi, le mode « jeu », qui désactive la touche Windows et la commande ALT+F4, tout en améliorant le temps de réponse des touches, ou encore le mode « macro à la volée » ne requièrent pas l’installation du pilote Razer Synapse 2.0 de Razer pour fonctionner. Il est toutefois grandement conseillé de le télécharger et de l’exécuter sur votre machine afin de pouvoir régler le clavier selon vos désirs.

Un toucher trop plastique

Le confort de frappe offert par le clavier est particulier. Les paumes des mains sont bien callées sur le repose-main et, grâce à la matière plastique légèrement alvéolée qui le recouvre, l’adhérence est renforcée. En revanche, du côté des touches, ça se gâte. En plastique, elles sont peu hautes (2 mm) et leur toucher n’est pas très agréable. De plus, le revêtement mat marque très facilement. Ainsi, si vous avez les doigts un peu gras, il sera facile d’identifier les touches utilisées fréquemment. En outre, leur bruit est assez prononcé. Avec un casque sur les oreilles, elles s’entendent moins. Mais votre entourage, lui, risque de rapidement se lasser. Enfin, grâce à ses cinq patins assez épais, le clavier ne bouge presque pas lorsque vous vous lancez dans des parties de jeu vidéo effrénées. Il est même possible de légèrement le surélever grâce à des petits rehausseurs escamotables.

Une application pour aller plus loin

Le logiciel Synpase 2.0 est à télécharger sur le site de Razer. Après l’avoir installé et ouvert gratuitement un compte, il vous donne accès à une interface simple qui vous permet de personnaliser toutes les touches du clavier et de créer des profils de touches et de raccourcis en fonction des jeux auxquels vous jouez. Création de macros, réaffectation de toutes les touches, les fous de jeux vidéo y trouveront surement leur compte. Les néophytes un peu moins car il faut mettre les mains dans le cambouis. Une fois que vous aurez fait tous vos réglages, vous pourrez les sauvegarder en ligne, sur les serveurs de Razer afin de pouvoir les retrouver quel que soit le PC sur lequel vous branchez le Deathstalker (et à condition de réinstaller Synapse 2.0).

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