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Test : Cette TV Ultra HD performante souffre toutefois de

Grand et beau, ce téléviseur Ultra HD mérite-t-il vraiment de dépenser autant d’argent ? Surtout à l’heure où aucune source n’est disponible avec ce niveau de définition.

L'avis de 01net.com

Panasonic TX-L65WT600E

Les plus

  • + Le traitement vidéo et l'upscaling Ultra HD
  • + La connectivité et la compatibilité multimédia 
  • + La certification THX

Les moins

  • - Rien pour l'instant

Qualité d'image

2.5 / 5

Equipement

3 / 5

Confort d'utilisation

4 / 5

Appréciation générale

3 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 16/12/2013

Voir le verdict

Fiche technique

Panasonic TX-L65WT600E

Technologie LCD LED
Diagonale de l'écran (cm) 165 cm
Label HD 4K Ultra HD
Définition de l'écran 3840 x 2160
Aspect de la dalle Mat
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Panasonic TX-L65WT600E : la promesse

Ce téléviseur Panasonic a de nombreux arguments à faire valoir, notamment sa taille, son processeur central chargé de fluidifier l’accès aux différents services et aux nombreuses fonctions, son circuit d’upscaling Ultra HD, sa 3D active, sa dalle 120 Hz et l’Intelligent Frame Creation permettant d’améliorer la stabilité et la netteté des images en mouvement, sa certification THX 4K, ses aptitudes multimédia et sa qualité d’image générale. Voyons si la réalité est aussi séduisante. 

Panasonic TX-L65WT600E : la réalité

Sur le plan du design et des finitions, rien à redire, c’est du haut de gamme. Deux télécommandes même sont même fournies : l’une classique avec des touches rétro-éclairées (une très bonne chose), l’autre avec Touch Pad et commande vocale intégrée. Du côté de la connectique, notez qu’outre les trois ports USB et le port Ethernet, quatre entrées HDMI sont proposées. L’une d’entre elles étant réservée à l’Ultra HD, ainsi qu’un DisplayPort.

Une connectivité et des fonctions multimédia presque au top

L’appareil offre par ailleurs la possibilité de personnaliser son écran d’accueil avec des applications et différents modules (horloge, agenda, etc.), mais aussi d’accéder facilement, avec ou sans fil, aux contenus multimédia du réseau ou de l’ordinateur du bureau (sauf que les fichiers MKV ne sont pas lus en streaming), de mettre en place des sessions de visioconférence avec Skype et la webcam rétractable, d’enregistrer les programmes TV sur un disque dur externe, ou encore de naviguer sur Internet librement en utilisant de préférence l’application TV Remote 2 sur tablette ou smartphone. Bref, voilà un téléviseur moderne offrant de nombreuses fonctions intéressantes.

De jolis contrastes

La qualité d’image est également très probante, plus particulièrement au niveau des contrastes et de la colorimétrie. Les noirs sont, en effet, bien profonds et la palette de couleurs toujours fidèle, même en mode Standard. Un savoir-faire hérité des Plasma de la marque japonaise. De nombreux réglages sont également disponibles et permettent d’obtenir assez facilement la qualité d’image et de rendu souhaités. Petite précision pour les fans de Home Cinéma : le mode THX Cinema est peu lumineux et impose le noir complet dans la pièce.

Des couleurs pures et un upscaling UHD de qualité

Belles performances également du côté des couleurs, gracieuses, justes et sans excès, avec un excellent Intelligent Frame Creation générant peu d’artefacts et embellissant sérieusement tous les déplacements d’objets ou de personnages. L’upscaling UHD fait aussi très fort, même si le piqué en natif est évidemment encore un cran au-dessus. Mais déjà, avec ce circuit d’upscaling applicable aussi bien aux Blu-ray qu’aux sources TV, on obtient des résultats encourageants, sans bruit excessif ni défaut vraiment rédhibitoire. De quoi palier un temps à l’absence de sources UHD natives.

Clouding et crosstalk au menu

Malheureusement, tout n’est pas parfait sur ce téléviseur Panasonic. Nous avons, en effet, noté un sérieux problème de clouding sur le modèle testé. Et ce phénomène n’a pas totalement disparu une fois les réglages effectués et l’ensemble des filtres désactivés. L’angle de vision de la dalle ne nous a pas paru non plus exceptionnel, tout comme la 3D active. Quelques petits problèmes de diaphonie (ou crosstalk) ont, en effet, fini par rendre le visionnage en relief assez fatiguant.

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