Mirai DTL-632V200 : la promesse
Sur le papier, les téléviseurs Mirai répondent techniquement à toutesles exigences requises, et ce à des prix plus qu’intéressants. Pour savoir ce que valent ces écrans, nous avons reçuplusieurs jours en test un modèle de 32 pouces, c’est-à-dire offrant unedalle de 81 centimètres de diagonale.
Mirai DTL-632V200 : la réalité
Côté interface utilisateur, on est en revanche moins gâté.
L’ergonomie n’a pas été soignée. C’est encore plus visible lorsque
l’on utilise la télécommande.
Et la déception ne s’arrête pas là. Alors que la Télévision numérique terrestre a
pour vocation de s’implanter partout dans l’Hexagone, le Mirai n’est doté que d’un tuner analogique offrant un résultat déplorable. Testé avec un boîtier tuner TNT, la réception des programmes est de meilleure qualité, mais reste un gros bémol : on a du mal à afficher une image de qualité ! Bien qu’ayant en ligne de mire la Tour Eiffel, on
a une sorte d’écho impossible à éliminer.
C’est d’autant plus dommage
que les angles de vision sont bons. On ne peut cependant pas s’empêcher
de regretter de ne pas bénéficier d’un détecteur de luminosité. Dès
lors, il faut régulièrement modifier les réglages de l’écran.
Côté support de la haute-définition, cet écran ne pose pas le
moindre souci. Compatible 720p, nous n’avons eu aucun problème pour relier un disque dur multimédia sur l’entrée Composante (YUV) ou pour
brancher un lecteur de DVD sur l’entrée HDMI. Mais là encore, nous
avons constaté que l’image n’était pas toujours très nette. La lecture
d’un DVD nous a définitivement montré que cet écran n’embarquait pas
une électronique irréprochable.
Là où nous avons été définitivement
convaincu que cet écran n’était pas des plus performants, c’est lorsque
nous avons cherché à y relier un PC via l’entrée VGA. Même motif, même
punition que précédemment. Impossible de bénéficier d’une image nette
et précise.
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