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Une suite qui veut trop en faire

Confronté à Microsoft Office et aux logiciels libres, Issendis se doit de positionner de façon spécifique sa suite Office One. Ne serait-ce que pour justifier son…

Confronté à Microsoft Office et aux logiciels libres, Issendis se doit de positionner de façon spécifique sa suite Office One. Ne serait-ce que pour justifier son tarif. En l’état, avec la version 7.2, l’éditeur met l’accent sur les utilitaires intégrés, qui font de cette suite une sorte d’‘ essentiels de la bureautique ‘. Sur les quatre piliers de base (traitement de texte, tableur, présentation, base de données) se greffent des outils qui vont de la gestion des comptes bancaires à l’utilitaire de cryptage (Safety-Box), en passant par l’éditeur HTML et la gestion des PDF. Dans la v7.2 s’ajoutent Digital Picture, qui redimensionne les images pour adapter leur format à celui des cadres photos numériques, Ciel Devis Facture, proposé dans sa version 2008, l’application ludoéducative Gcompris, destinée aux enfants de deux à dix ans, une demi-douzaine de jeux, et l’antivirus Kaspersky Internet Security, utilisable quatre mois gratuitement. Au final, l’ergonomie des applications bureautiques (issues d’un noyau StarOffice, OpenOffice) ne déroutera pas les adeptes de Word et d’Excel. Mais à force d’empiler des utilitaires, la suite perd de son identité.

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Rémi Langlet