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Tous jaloux d’Apple !

De la pub contre de la musique gratuite, voilà ce que proposera, d’ici à la fin de l’année, SpiralFrog. Après Universal Music, c’est au tour d’EMI…

De la pub contre de la musique gratuite, voilà ce que proposera, d’ici à la fin de l’année, SpiralFrog. Après Universal Music, c’est au tour d’EMI de signer un accord avec ce service de téléchargement. Nul ne sait pour l’instant si les internautes partageront l’engouement des maisons de disques pour cette nouvelle manière de distribuer la musique en ligne. Cela dépendra probablement du rythme auquel les pubs interviendront.Pour l’heure, le succès d’Apple avec l’iPod et son service de téléchargement iTunes ne se dément pas. Microsoft entend bien, lui aussi, se tailler une part du gâteau en lançant son propre baladeur numérique couplé à un service de téléchargement de musique, à la fin de l’année aux Etats-Unis, puis en Europe. Le géant des logiciels ne s’est pas seulement inspiré du modèle d’Apple mais aussi du nom.Cette nouvelle offre est ainsi baptisée Zune. Pour l’heure, on sait qu’il s’agit d’un terminal dédié à la musique et au divertissement, compatible avec Windows XP et Vista. Il disposera d’un accès à Internet en Wi-Fi, afin de partager le contenu avec une xBox 360, un PC, voire un téléphone mobile. Pour ce qui est du contenu, EMI a indiqué que certains clips seront préinstallés. Mais on n’en sait pas plus sur le service de téléchargement.De son côté, Samsung Electronics a annoncé son intention de lancer une plate-forme de téléchargement de musique payante parallèlement à la sortie de son baladeur YP-K5. Le service de vente en ligne sera d’abord lancé en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. La plate-forme, verrouillée par le système de DRM PlayForSecure de Microsoft, proposera des titres issus du catalogue de Musicnet et compatibles uniquement avec les baladeurs de Samsung.MySpace a préféré miser sur les producteurs indépendants. Les utilisateurs de ce service communautaire pourront ainsi acheter des titres directement auprès des artistes ou de leurs fans. Ces derniers seront libres de fixer le prix d’une chanson et devront verser une commission au site. Signe d’un esprit rebelle : les titres au format MP3 ne seront pas protégés par un système de DRM. De quoi permettre aux internautes de copier les titres à lenvi… et légalement

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Valérie Quélier