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Supreme Commander

De dernière ampleur

Dix ans après Total Annihilation, voici la nouvelle ?”uvre de Chris Taylor. Disons-le d’emblée : c’est du lourd. S’il ne renouvelle pas le genre, SupremeCommander revient à ses sources ?” la stratégie, plus que la tactique. Pour le joueur, cela signifie qu’il ne suffit pas de produire un maximum d’unités pour l’emporter. Il doit aussi prendre en compte les particularités de chacune et les associer.Ajouté à l’immensité des champs de bataille, dont on ne prend conscience que petit à petit, ce trait donne une rare ampleur au jeu. Suffisante, en tout cas, pour lui pardonner ses seuls vrais défauts que sont le côté vu et revu de l’univers proposé, le classicisme des campagnes, et la mise en scène dénuée de rythmeL’avis de la rédaction
On aime
Le jeu à la hauteur de ses ambitions sur le plan stratégique.
On n’aime pas
L’univers, les unités et le scénario sans originalité, la musique qui colle mal.
Mention Bien
Tout public
Ce quil vous faut
PC 2,4 GHz
1 Go de mémoire vive
10 Go sur le disque dur
Carte 3D 128 Mo
Lecteur de DVD-Rom
Windows XP ou Vista

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Stephan Schreiber