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Silence, on tourne !

Le Pentax Optio S7 fait partie de cette catégorie d’appareils baptisés ‘ bijoux ‘ au fort potentiel de séduction. Le charme opère dès la prise en…

Le Pentax Optio S7 fait partie de cette catégorie d’appareils baptisés ‘ bijoux ‘ au fort potentiel de séduction. Le charme opère dès la prise en main. L’Optio S7 est vraiment minuscule et ne pèse pratiquement rien (120 g, soit à peine plus qu’un téléphone portable). Très discret, il disparaît aisément au fond d’une poche ou tout simplement dans le creux de la main. La petitesse de l’appareil n’est pas le seul atout esthétique, la coque en métal participe également au pouvoir d’attraction. Sur la face avant, le métal lisse laisse la place à un motif finement gravé en arc de cercle, du plus bel effet. L’arrière est largement dominé par un bel écran de 6,35 cm reléguant toutes les commandes (zoom, lecture, menus, flash, retardateur et mode de mise au point) sur la droite de l’appareil. La qualité de l’écran est remarquable, l’affichage est fluide et les angles de vision horizontaux relativement larges. Les commandes sont petites, mais ce boîtier est avant tout destiné à une utilisation en tout automatique et nécessitera par conséquent peu d’interventions dans les menus. À noter que le Pentax Optio S7 dispose d’une touche verte personnalisable qui permet de sélectionner rapidement les fonctions les plus fréquemment utilisées : bien vu.

Vidéo en mode DivX

Pentax a également passé des accords commerciaux avec la société DivX. Le mode Vidéo bénéficie donc de l’excellent codec de compression. Les effets de la forte compression sont certes visibles, mais la durée d’enregistrement est largement augmentée (2 heures sur une carte de 2 Go) et vous pouvez facilement partager vos vidéos (Internet, télévision…). Côté image fixe, le constat n’est pas aussi enthousiasmant. Les images sont honnêtes sans plus avec une montée en bruit numérique très importante au-delà de 200 ISO. À 400 ISO, il devient très gênant, sans être rédhibitoire sur des tirages 10 x 15 cm. Le plus désagréable reste la mise au point trop lente et trop hésitante. Difficile de photographier un enfant en mouvement dans ces conditions.

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Renaud Labracherie