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RIAA ne va plus au pays du peer to peer

Tanya Andersen n’aime pas le rap et ne se lève pas la nuit ! Pourtant la RIAA, l’association des maisons de disques aux Etats-Unis, l’accuse d’avoir…

Tanya Andersen n’aime pas le rap et ne se lève pas la nuit ! Pourtant la RIAA, l’association des maisons de disques aux Etats-Unis, l’accuse d’avoir téléchargé un morceau de gangsta rap à 4 h 24 du matin. Aussi, cette femme de 41 ans, mère d’une petite fille de 8 ans, a-t-elle à son tour déposé plainte contre la RIAA.L’accusation porte notamment sur l’utilisation par la RIAA d’un logiciel espion, MediaSentry, chargé de détecter le téléchargement illégal de fichiers sur un ordinateur et d’identifier son adresse IP. C’est lui qui aurait permis à la RIAA de déposer des centaines de plaintes contre des particuliers qui téléchargent illégalement.Ce logiciel aurait également falsifié des données sur l’ordinateur de Tanya Andersen, histoire de prouver ses actes de piraterie. Des méthodes qui, si elles venaient à être confirmées, risquent sérieusement de brouiller l’image du blanc chevalier, défenseur du droit dauteur !

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Valérie Quélier