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Prix haute couture, finition prêt-à-porter

Moins de trois kilos avec son chargeur, moins de 3,5 cm d’épaisseur, un grand écran panoramique de 15,4 pouces, des courbes élégantes et un boîtier gris…

Moins de trois kilos avec son chargeur, moins de 3,5 cm d’épaisseur, un grand écran panoramique de 15,4 pouces, des courbes élégantes et un boîtier gris très sobre : le X50 est le top model des portables. A la dernière mode
avec son Pentium M de deuxième génération, il est richement équipé, avec une grande quantité de mémoire, un circuit graphique plutôt puissant (qui permet de jouer dans de bonnes conditions avec les jeux 3D récents) et une large palette de moyens de
communication. Mais si l’on inspecte la tenue de ce mannequin, on s’aperçoit vite que sa finition laisse à désirer : un peu faible, la luminosité de l’écran n’est pas très homogène. Le graveur de DVD ne gère pas les disques double couche ;
on ne trouve que trois ports USB ; les performances du disque dur sont médiocres, malgré sa vitesse de rotation correcte (5 400 tr/min) ; et parmi le petit nombre de logiciels fournis, aucun programme de bureautique n’est
proposé, pas même un intégré comme Works. Mais le plus décevant avec ce portable, c’est son autonomie : il ne tient même pas 1 h 30 en lecture de DVD-vidéo, et à peine plus de 2 h 30 en utilisation bureautique. C’est peu, surtout pour
une machine dotée de composants censés soulager les batteries des portables ! Reste que, malgré ces défauts, le prix du X50 est élevé, façon haute couture…

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Christophe Gauthier