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Le scanner de diapositives

Parmi les scanners destinés à un usage spécifique, le plus répandu reste celui qui permet de numériser les diapositives.

Il existe deux types de fonctionnement pour les scanners de diapositives : soit le bloc optique (éclairage, objectif et capteur) est fixe et la diapositive se déplace ; soit c’est le contraire. Le CoolScan4000
ED
, de Nikon, présenté ici, entre dans la seconde catégorie.

Le LED comme source lumineuse

Une barrette de LED (Light Emitting Diode, des diodes luminescentes) apporte l’éclairage rouge, vert, bleu, et infrarouge indispensable pour l’extraction des composantes RVB (rouge, vert, bleu) de chaque point de l’image.

Une diapositive bien en place

La diapositive reste immobile pendant toute la numérisation. Elle est placée individuellement dans le scanner, ou dans un passe-vues qui peut en abriter plusieurs.

Un objectif qui renvoie la lumière

L’objectif, qui est composé de plusieurs lentilles, focalise sur le capteur CCD la lumière émise par la barrette LED.

Deux moteurs pour une mise au point

Les moteurs assurent la mise au point : le premier s’occupe de l’avance du système optique, tandis que le second déplace le plateau supportant le capteur et l’objectif.

Une barrette photosensible

La barrette CCD est composée de milliers de photosites d’une taille infime ; le CoolScan 4000 ED, de Nikon, en comporte 3 946, dune largeur de 8 micromètres. Ne reconnaissant que la luminosité, elle est éclairée successivement par
la lumière rouge, verte et bleue, à chaque étape du déplacement du bloc optique.

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Laurent Katz