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Deux interfaces, deux approches du montage

Si vous vous êtes déjà essayé au montage vidéo sur micro, l’interface de Movie Maker 2 ne vous surprendra pas. La fenêtre du logiciel est divisée…

Si vous vous êtes déjà essayé au montage vidéo sur micro, l’interface de Movie Maker 2 ne vous surprendra pas. La fenêtre du logiciel est divisée en trois zones.La plupart des opérations de choix d’une séquence vidéo, d’un effet ou d’une transition, ont lieu dans la zone la plus importante. A droite, un lecteur multimédia offre un aperçu en temps réel du montage en cours. Il suffit de cliquer sur le bouton de lecture pour évaluer immédiatement le résultat final. En bas, se situe la zone de travail proprement dite. Comme tous les logiciels de montage, Movie Maker 2 propose deux modes d’édition du film : la table de montage séquentiel, et la chronologie. Le premier mode, qui est aussi le plus simple d’accès, traite chaque scène du film (chaque ‘ clip ‘, selon la terminologie utilisée par Microsoft) comme une entité à part entière, quelle que soit sa durée ­à l’extrême, un film pourrait donc n’être composé que d’un seul et unique long clip. Cette façon de procéder est tout à fait adaptée à la plupart des travaux de montage, dans la mesure où les effets vidéo s’ajustent automatiquement aux clips auxquels ils sont rattachés, et où les transitions s’insèrent naturellement entre eux. De son côté, l’affichage chronologique offre plus de précision en permettant de travailler au niveau de l’unité temporelle de base de la vidéo : l’image (en Pal, il faut 25 images pour faire une seconde). Mais ce mode est aussi moins évident à appréhender pour le débutant.En pratique, un montage vidéo se fait rarement dans l’un ou l’autre mode exclusivement : on aura plutôt tendance à basculer de l’un à lautre, selon la fonction utilisée.

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Stephan Schreiber