Passer au contenu

Délicieuse boucherie

Ingrédients du chef d’?”uvre : graphismes éblouissants, ultraviolence et rebondissements…

Les humains croyaient dur comme fer avoir éradiqué les sinistres Locustes grâce à l’explosion de la bombe lumière. Las, six mois après, les monstres souterrains ressurgissent de toutes parts, massacrant les survivants et engloutissant des cités entières. Une fois encore, Marcus Fenix et les soldats dopés à la testostérone de l’unité Delta reprennent du service pour un ultime combat. Si le premier volet de Gears of War avait ébloui, tant par la qualité graphique que par l’ambiance et l’action ultraviolente, cette suite ajoute encore à la démesure tout en corrigeant certains défauts. Pour commencer, le scénario est plus riche et s’attache davantage à la psychologie des personnages. L’action se veut aussi plus nerveuse, presque épuisante, ne ménageant aucun temps mort. De nouvelles armes très maniables et destructrices font aussi leur apparition, permettant de nouvelles tactiques de combat. Du coup, cette suite se révèle plus accessible que le premier opus et un joueur occasionnel pourra sans peine tirer son épingle du jeu en mode normal. D’autant que les compagnons de combat s’avèrent toujours aussi efficaces et prompts à nous aider en cas de danger. Si Gears of War 2, en raison de sa violence parfois très crue, s’adresse à un public mature, il s’agit sans nul doute du meilleur jeu d’action pour Xbox 360, et certainement l’un des plus aboutis toutes consoles confondues.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Philippe Fontaine