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Coup de projecteur sur la… lumière !

Dans tous les domaines qui touchent à l’image, la lumière a une importance cruciale, mais son rôle est particulier en vidéo. Si le photographe peut sculpter littéralement la lumière, en s’appuyant sur un ensemble de techniques (poses longues, retouche…), le vidéaste, en revanche, dispose de moins de souplesse.

Quel que soit le type de film que vous prévoyez de réaliser, la lumière peut être votre principale alliée ou votre pire ennemie. Sa maîtrise et la bonne compréhension de ses effets sont d’autant plus cruciaux que l’amateur ne dispose pas des mêmes moyens d’éclairage que les professionnels qui souvent recréent entièrement l’ambiance lumineuse. Nous allons voir plus modestement comment tirer le meilleur parti de la lumière existante en la complétant au besoin par un éclairage d’appoint. Celui-ci sera indispensable dans les conditions de faible lumière – la sensibilité des caméscopes n’étant pas suffisante. Cette faiblesse se retrouve sur tous les modèles familiaux et même sur les caméscopes grand public destinés aux amateurs avertis (ceux dont le prix est situé entre 1 800 et 2 500 euros). Il n’y a guère que quelques modèles comme le Sony VX2100 ou, dans une certaine mesure, le Canon XM2 à s’en tirer honorablement en lumière faible. Du coup, surtout si vous réalisez des vidéos familiales, pour tourner en intérieur, un éclairage soigné est fondamental, faute de quoi vous obtiendrez, dans le meilleur des cas, des résultats granuleux de piètre qualité.Nous aborderons également le principe d’un éclairage de type ‘ plateau ‘, mais à l’échelle de l’amateur.

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Jacques Valadji