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Au-delà des apparences

Savant mélange des genres, Beyond Good and Evil entraîne le joueur dans un monde étrange où de nombreuses créatures, dont des humains, cohabitent et tentent de…

Savant mélange des genres, Beyond Good and Evil entraîne le joueur dans un monde étrange où de nombreuses créatures, dont des humains, cohabitent et tentent de faire face aux assauts incessants d’extraterrestres, les DomZ. Dans ce jeu en vue à la troisième personne et aux graphismes somptueux et variés, le joueur incarne la belle Jade, un reporter photographe qui va libérer le monde du joug des oppresseurs. Beyond Good and Evil fait la part belle à l’action.Si Jade peut-être amenée à combattre à bord de son hovercraft, c’est à pied, accompagnée de Pey’j, un cochon humanoïde, ou de Double H, un résistant, qu’elle effectuera la plupart des missions visant à prouver la félonie des sections Alpha.Pour se défendre, Jade utilise un bâton qui lui permet d’affronter plusieurs adversaires simultanément. Les combats pourraient être passionnants si d’incessants problèmes de placement de caméras ne gâchaient le plaisir. Heureusement, le niveau du jeu n’est guère élevé et l’on finit toujours par vaincre ses adversaires. Si les affrontements sont nombreux, les phases d’infiltration apportent de la subtilité à l’ensemble. Les sections Alpha ne pouvant être battues en attaque frontale, il faudra les contourner. Dernier reproche : la faible durée de vie de Beyond Good and Evil. Un joueur assidu en viendra à bout en huit heures tout au plus.

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Philippe Fontaine