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Voxmobili inaugure le serveur de synchronisation universel

La solution Voxsync Server 1.0, fondée sur SyncML, permet aux terminaux mobiles de se synchroniser à distance avec des serveurs.

Synchroniser aisément et à tout moment n’importe quel terminal mobile avec un serveur de données, est la vocation du serveur de synchronisation Voxsync Server du français Voxmobili. La solution est conforme au standard de synchronisation SyncML 1.0 (soutenu par les principaux équipementiers de la téléphonie mobile mais aussi par IBM et Lotus) pour communiquer avec n’importe quel dispositif compatible avec le standard. “Les coûts de développement d’applications vont bénéficier d’un facteur d’échelle lié à la diffusion de la norme SyncML. Les solutions deviendront indépendantes du modèle de terminal mobile utilisé”, précise Nicolas Frattaroli, PDG de Voxmobili. Rappelons que SyncML, basé sur XML, définit un format de données compatible avec les clients des messageries, agendas, carnets d’adresses (Lotus Notes, Exchange, etc.) et les terminaux mobiles (téléphones mobiles, assistants personnels, PC).

De nombreux modes de connexion sans fil reconnus

Souple, Voxsync Server est conçu pour s’intégrer aussi bien dans des solutions Internet que dans des infrastructures d’entreprise. Il reconnaît de nombreux modes de connexion sans fil : GSM, GPRS, WAP, infrarouge, Bluetooth et s’interface avec les serveurs de l’entreprise (SGBDR compatibles JDBC, serveur de messagerie Domino, Exchange). Dans la pratique, le serveur de synchronisation, qui peut être installé chez un opérateur télécoms, dans une entreprise, voire chez un prestataire de services qui le met à disposition de plusieurs clients, communique directement en IP avec les terminaux, pourvu que ceux-ci soient dotés d’un client SyncML. Il permet, dès maintenant, de synchroniser les agendas et les listes de contacts, mais il faudra encore attendre pour faire de même avec les courriers électroniques et les fichiers, voire les applications verticales et les outils des forces de vente. En ce qui concerne l’interopérabilité, la solution gère immédiatement les terminaux récents intégrant un client SyncML (Nokia 9210, Ericsson R520m et T39m ou assistants Palm et iPAQ, par exemple). Pour les autres dispositifs, il faudra se procurer un logiciel client adapté auprès d’acteurs tels que Symbian ou Starfish.

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René Beretz