Passer au contenu

Vidéo : un bel exercice de style technologique

Compression vidéo : aussi rapide qu’un Athlon à 1 GHzMoins de quatre minutes pour comprimer notre vidéo de test ! Le logiciel iMovie 2, fourni c…

Compression vidéo : aussi rapide qu’un Athlon à 1 GHz

Moins de quatre minutes pour comprimer notre vidéo de test ! Le logiciel iMovie 2, fourni c le Cube, profite de l’accélération apportée par le Velocity Engine (l’équivalent des instructions multimédias MMX des Pentium). Mais peu de programmes sont conçus pour en tirer parti. Et si la configuration à 450 MHz suffit aux amateurs, elle est trop juste pour des professionnels.

Branchement de la caméra et copie du film : sans soucis

Il suffit de brancher la caméra DV sur le port FireWire du Cube pour qu’elle soit automatiquement détectée par le logiciel iMovie 2. Les contrôles (lecture, rembobinage, etc.) s’effectuent ensuite avec la souris. Un clic sur Importer et la séquence vidéo est copiée sur le disque dur (cette opération ne dure que le temps du film). Le logiciel repère les changements de plan et scinde la vidéo en autant de petites séquences indépendantes qui sont ensuite placées dans la zone de stockage. Elles constituent la matière première à partir de laquelle on va monter son film.

Montage et diffusion : quelques clics et beaucoup de temps

Par simple glisser-lâcher, on réalise les principales opérations sur son film : l’enchaînement des séquences, les coupes ou l”ajout des effets spéciaux (une dizaine). Sur le site d’Apple, une mise à jour à télécharger enrichit cette collection un peu maigre par rapport à ses équivalents sur PC. Ensuite, vous choisissez le support de sauvegarde (caméscope DV, CD-ROM, site Web) et le taux de compression s’autocalcule. Dommage qu’il n’y ait pas de sortie vidéo pour repiquer le film au format VHS. En qualité maximale (720 x 480 points en 25 images/s), il faut compter 8 secondes de calcul par seconde de film. Armez-vous donc de patience !

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Antoine Besse et Eric Connehaye