Passer au contenu

StarCraft II : nos premières impressions

Aujourd’hui sortait le nouveau jeu de stratégie de Blizzard. Compte rendu après une première journée de découverte.

A l'attaque !
A l’attaque ! – A l’attaque !

La campagne solo démarrée, on commence par une jolie cinématique, probante de réalisme, qui permet de comprendre, très brièvement, ce qui s’est passé durant les quelques années qui séparent les deux épisodes. La première mission se lance et, comme les trois premières, elle est destinée à l’entraînement. C’est après que les choses se corsent.

Première claque, l’ambiance. Certes, StarCraft II (SCII) se passe dans le futur, mais il règne une ambiance assez western dans le camp Terran. De la musique aux dialogues en passant par le feeling du gameplay, on a plus l’impression d’être à la tête d’une bande de mercenaires vêtus de cache-poussière, le Colt à la ceinture, que de puissants Space Marines pourvus de fusils-mitrailleurs crachant la mort et d’armures faisant office d’exosquelettes !

Un western futuriste très vivant

Deuxième claque, les graphismes. Pas de moteur 3D hyperrécent ici, ni de Motion Blur ni d’anticrénelage à gogo. Et ce même si Nvidia a sorti des pilotes de cartes graphiques spécialement conçus pour lisser l’affichage. Le moteur graphique ne prend pas trop de ressources et ouvre les portes de SCII à presque tous les PC (netbooks exclus), même âgés de plus de trois ans.

En fait, Blizzard a préféré faire simple et efficace, mais le résultat est terriblement sympathique à l’œil. Tout est pensé dans le moindre détail, du panneau publicitaire dans les cartes urbaines aux bâtisses et autres personnages non joueurs que l’on peut rencontrer sur le théâtre des opérations. Le tout en prenant bien soin d’apporter un rendu visuel envoûtant et de qualité : explosions très bien faites, animations très vivantes, tant pour les unités que pour les bâtiments. En fait, rien de complexe, mais la mayonnaise prend bien.

Aussi nerveux qu’accrocheur

Après quelques heures passées sur le jeu, quatre constats : la durée de vie de la campagne Terran est importante, le jeu est nerveux, le scénario bien ficelé, les « hauts faits » vous incitent à recommencer les missions, juste par goût du défi, et… on y retourne séance tenante pour vous proposer le test exhaustif en fin de semaine. Et surtout parce que cela faisait sept ans qu’on attendait une suite de cette trempe !

Lire aussi :
StarCraft II met le feu à la Fnac des Champs-Elysées
Découverte de l’édition collector en images

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Aymeric Siméon