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Sherlock Holmes : La nuit des sacrifiés

Réussi du point de vue du scénario et de l’ambiance, décevant en revanche par son graphisme… Heureusement que le jeu en vaut la chandelle : isn’t it ?!

Avec cette troisième aventure de Sherlock Holmes, cette fois en 3D, les studios franco-ukrainiens Frogwares ont joué les cartes ambiance et scénario. Avec succès. La personnalité du détective et de son fidèle Watson, le Londres
de la fin du XIXe siècle, l’enquête macabre qui se profile (une histoire de trafic d’êtres humains), tout semble issu d’un roman de Conan Doyle.Jusqu’aux énigmes bien conçues et à la difficulté bien dosée. Il faudra même établir soi-même ses déductions pour répondre à l’aide de son clavier aux questions de Holmes. Reste le graphisme, hélas pas à la hauteur, loin de là. Les
décors (Londres, l’Ecosse, La Nouvelle-Orléans et la Suisse) et surtout les personnages, qui ont des airs de pantins désarticulés, méritaient mieux.

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Hervé Cabibbo