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Sept sites de simulation d’élevage

Vous pouvez acquérir un chameau, un cochon, voire un dinosaure… virtuel ! Mais il nécessitera des soins constants.

Avoir un animal apporte beaucoup de joie, mais aussi des contraintes : il faut le nourrir, veiller à son hygiène, le conduire régulièrement chez le vétérinaire… C’est cette succession de tâches qui constitue le principe de
base des élevages virtuels en ligne. En effet, après une simple inscription sur les sites que nous avons sélectionné, il est possible de devenir l’heureux propriétaire d’un animal virtuel : cochons, chevaux, chameaux… ou même dragons,
dinosaures et hommes préhistoriques !Mais les soins à prodiguer quotidiennement ne constituent qu’un marchepied vers des niveaux supérieurs où, à force de reproduction, il s’agit de gérer ferme ou zoo comme un vrai chef d’entreprise, à l’aide du pécule offert au départ
et que l’on doit faire fructifier. Parfois, votre animal gagne en maturité et en force, et doit mener des quêtes et des combats. C’est donc seulement au fil des jours qu’on peut apprécier la qualité de ces jeux, sans rien débourser. A vous de voir
si, pour obtenir des bonus ou renflouer votre trésorerie, vous devez entrer dans l’engrenage des SMS et des appels surtaxés

Equideo : en selle !

Tout commence par l’achat d’un cheval. On le panse, le caresse, on le nourrit, on le met au pré, on lui choisit une pension, et on veille à son entraînement avant de l’inscrire à des courses. Très rapidement, on s’y attache. Et
l’envie nous prend alors d’en adopter d’autres, soit en les achetant, soit en les faisant se reproduire. A force de temps, et en répondant à des questionnaires pour valider ses connaissances en matière d’équitation, on passera de simple palefrenier
à directeur de centre équestre. Chaque jour réserve son lot de bonus : friandises ou points pour augmenter la résistance ou la vitesse du cheval. Une aventure qui tiendra en haleine petits et grands

Simagri : élevage intensif

Adieu veaux, vaches, cochons : c’est ce qui vous attend si vous ne prenez pas au sérieux votre rôle de fermier sur Simagri. Ici, le réalisme est poussé très loin. Pour l’élevage, une trentaine de races sont présentes. Pour les
cultures, vous disposez de l’avoine, la betterave, la pomme de terre, etc. Vacciner, inséminer, mais aussi labourer, pulvériser, récolter, économiser ou emprunter, les tâches à accomplir sont nombreuses et complexes. Parmi les joueurs, des maîtres
exploitants pourront vous former.

Kochon land : cochons dodus

Un cochon et un champ, voilà votre dotation au début du jeu. L’objectif est d’engraisser le premier et de multiplier les récoltes du second. Si tout se passe bien, on vous confiera dans les niveaux suivants les missions d’un véritable
exploitant agricole : entretenir le tracteur et l’approvisionner en carburant, vider la fosse à lisier, veiller sur les portées de verrats et, plus cruel, fabriquer le boudin ou le saindoux. Il faut aussi compter avec les interventions du loup,
les caprices de la météo, la jalousie des autres exploitants qui pimentent encore l’aventure

Jurassic life.com : élevez un Cro-Magnon

Gratteurs de limaces ou lanceurs de mouettes : l’appartenance à l’une de ces tribus préhistoriques vous est imposée, mais vous avez quartier libre pour faire évoluer votre homme dont les exigences vont bien au-delà de la
nourriture. Soigner ses bobos, l’aider à entretenir sa grotte, augmenter sa force et son intelligence, voire lui financer une formation, sont votre lot quotidien. Combats entre tribus, raids, quêtes de pierres prophylactiques, viennent un peu
pimenter une aventure, assez banale, mais teintée d’humour

Dinogaia : bébé dinosaure deviendra féroce

Saviez-vous que les plus féroces dinosaures que sont le Mégalodon, le Ptérodactyle, le T-rex et le Velociraptor peuvent se domestiquer ? Tout du moins dans l’univers virtuel de Dinogaia. Il faut d’abord penser à son confort, en
lui remplissant l’estomac régulièrement, en s’assurant que sa grotte est propre et meublée, en veillant sur sa santé (ses baisses de moral nécessitent l’achat de pilules). Pour pimenter ce train-train et remplir sa trésorerie, la créature peut aller
à la chasse, jouer au casino ou travailler. Mieux, on peut se livrer à des combats avec les dinosaures d’autres joueurs, ou se lancer dans des quêtes

Safari story : pour les Noé en herbe

Dans la savane de Safaristory, se côtoient des éléphants, des tigres, des lions, des girafes. Mais vu le budget alloué au départ du jeu (1 000 safis, la monnaie virtuelle), il faudra débuter plus modestement avec des
babouins ou des vautours, en espérant qu’ils se reproduisent. En attendant, vous devrez gérer votre budget pour les nourrir et les garder en bonne santé. Des tâches à accomplir de multiples fois pour gagner des safis et acheter des champs, des
bâtiments et des puits ou des animaux prestigieux

Chamo land : un zoo de camélidés

Un chameau dans un zoo, cela génère des visites. Dans la peau d’un éleveur de camélidés, vous devez à la fois assurer le bien-être de l’animal mais aussi tout mettre en ?”uvre pour augmenter l’affluence. Il est facile d’attendre
l’objectif du niveau 1 : 20 000 visiteurs. Ensuite les choses s’accélèrent, puisque l’on vous confie cinq chameaux, souvent stressés par les visiteurs. Il est aussi nécessaire de procéder à des investissements en matière d’équipement
(bancs, distributeurs de boissons…) pour le confort du public. Puis de s’essayer à la reproduction, lancer vos bêtes dans des courses et des combats. Ce jeu est certes bien ficelé, mais manque néanmoins d’une petite touche de piquant

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Coralie Cathelinais