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Réalité du marché

Dans le cadre des cours de marketing moderne que je vous délivre régulièrement ici, en voici un, inspiré d’une blague circulant sur le web :1. Vous…

Dans le cadre des cours de marketing moderne que je vous délivre régulièrement ici, en voici un, inspiré d’une blague circulant sur le web :1. Vous êtes à une soirée avec des copains et vous remarquez une jeune femme attirante. Vous vous approchez d’elle et lui dites : “Je suis une très bonne affaire.” C’est du one-to-one.2. Vous êtes à une soirée et vous remarquez une jeune femme attirante. Vous vous approchez d’elle et vous lui dites : “Pourrais-je vous signaler que je suis une très bonne affaire ?” Ca, c’est du marketing permissif.3. Vous êtes à une soirée avec des copains et vous remarquez une jeune femme attirante. Un de vos amis s’approche d’elle : “Vous voyez ce beau garçon là-bas ? C’est une très bonne affaire.” Ça, c’est de la publicité.4. Vous êtes à une soirée et vous remarquez une jeune femme attirante. Vous lui demandez son numéro de téléphone. Le lendemain, vous l’appelez et lui dites : “Je suis une très bonne affaire.” C’est du télémarketing.5. Vous êtes à une soirée et vous tombez sur une jeune femme, que vous avez déjà rencontrée. Vous vous approchez d’elle : “Vous vous souvenez. Je suis une très bonne affaire ?” C’est de la gestion de la relation client.6. Vous êtes à une soirée et vous remarquez une jeune femme attirante. Vous arrangez vos vêtements, lui offrez un verre, ramassez son sac lorsqu’il tombe, vous levez lorsqu’elle va se laver les mains, lui allumez sa cigarette et lui dites : “Je suis une très bonne affaire.” C’est des relations publiques.7. Vous êtes à une soirée avec des copains et une jeune femme attirante vous remarque, s’approche en écartant vos amis, et vous dit : “J’ai entendu dire que vous étiez une très bonne affaire.” Ca, c’est du branding.8. Vous êtes à une soirée avec des copains et vous remarquez une jeune femme vraiment attirante. Vous n’arrêtez pas de la mater, buvez des coups en faisant des réflexions pas très fines. Il ne se passe rien et vous rentrez bredouille. Le lendemain, vous avez mal à la tête. Ça, cest la réalité du marché.

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La rédaction