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Pariah

Si la trame de départ était bonne, sauver le système solaire d’un virus transgénique, le scénario, la réalisation et les ennemis sont trop prévisibles.

Nul n’est à l’abri d’une faute de parcours. C’est la première réflexion qui vient à l’esprit quand on essaie Pariah, la dernière production de Digital Extremes (Unreal,
Unreal Tournament).
Malgré une trame de départ intéressante ?” une prisonnière infectée par un virus transgénique menace de détruire toute vie dans le système solaire ?”, Pariah a bien du mal à
captiver le joueur.Ni le scénario, aux surprises vraiment peu nombreuses, ni les réactions des ennemis, trop prévisibles, ni la possibilité d’emprunter des véhicules, qui n’apporte rien à l’histoire, ni, enfin, la réalisation
technique, au graphisme banal, ne sont à la hauteur des attentes. Le jeu n’est cependant pas mauvais : il est juste très moyen.

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Stephan Schreiber