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Overlord

Ce jeu d’action assez immroal est rempli d’humour et le graphisme est de qualité. Il manque toutefois des minicartes pour pouvoir bien se situer dans cet univers.

Piller, massacrer, s’attaquer aux plus faibles et assigner à d’autres les sales besognes, tel est le quotidien d’Overlord. Sa mission consiste à parcourir quatre contrées pour y réaliser des quêtes avec ses
larbins, sortes de diablotins qui attaquent tout ce qui bouge pour le compte de leur patron. En apportant une dimension stratégique au jeu, ces diablotins se révèlent en fait les vrais héros : les quatre races (bruns, bleus, rouges ou verts)
disposent de pouvoirs particuliers (les verts ne craignent pas le poison, les rouges le feu, etc.).Le tout est enveloppé d’une bonne dose d’humour (des ennemis gloutons et pétomanes, les larbins qui vouent une admiration sans borne à leur patron), humour auquel la bande-son et le doublage ne sont pas étrangers.

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Hervé Cabibbo