Passer au contenu

Optoma PK201 : compact mais peu autonome

Le PK201 partage en grande partie sa fiche technique avec le PK301, concernant sa connectique, sa capacité de stockage ou son interface logicielle. Cette dernière est…

Le PK201 partage en grande partie sa fiche technique avec le PK301, concernant sa connectique, sa capacité de stockage ou son interface logicielle. Cette dernière est simple et bien pensée et permet de naviguer facilement par source (entrée vidéo, mémoire interne, carte flash, etc.) et par catégorie de contenu (vidéo, image, présentation).

Une finition très correcte

Côté qualité d’image, le pico est très proche de ce qu’offre son aîné, le PK301. Seules différences : une diagonale d’affichage plus faible et l’impossibilité de pousser la luminosité. Presque moitié plus fin que son grand frère et bien plus léger, le PK201 ressemble à un gros smartphone et bénéficie d’une très bonne finition.

S’il partage certaines qualités du PK301, il hérite aussi de ses plus gros défauts comme le manque de compatibilité avec la plupart des fichiers informatiques du marché. Le recours à un logiciel de conversion est donc absolument nécessaire avant de se payer une toile à partir d’une carte mémoire ou d’une clé USB. Ajoutez à cela une autonomie très restreinte (1 h 10 min mesurée en vidéo) et vous aurez plus vite fait de relier le picoprojecteur à un PC portable et au secteur ! Dépourvu de système de ventilation, il n’émet aucune nuisance sonore. Un atout si on veut entendre le chuchotement émis par le haut-parleur intégré de 0,5 watt.

Comme le PK301, ce pico est livré avec une housse de protection pour le transport, une petite télécommande et des câbles VGA, S-Video et USB.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Sébastien Casters