Huit ans après sa première expérience de MMORPG avec Final Fantasy XI, Square Enix remet le couvert et propose son MMO de nouvelle génération : Final Fantasy XIV Online. S’il brille par la qualité de son moteur ou la flexibilité qu’il offre dans la gestion des classes (vous pouvez investir n’importe quelle profession en changeant votre arme principale), il impressionne surtout par son incapacité à remplir la plus fondamentale de ses missions : nous divertir.
Dire que nous sommes déçus est un doux euphémisme. Nous sommes totalement abasourdis par l’amateurisme qui suinte de tous les pores du jeu. Il est mal pensé. Amphigourique. Austère. Limite injouable. D’une lenteur déconcertante… Sorti trop vite, sans l’ombre d’un doute. On n’arrive pas à passer cinq minutes en jeu sans découvrir un nouveau dysfonctionnement ou une étrangeté. Et, si l’on arrive à garder son calme pendant les dix premières heures, on explose au bout de vingt ! Voici les cinq raisons qui font que nous n’y jouerons plus tant qu’un patch majeur ne viendra pas bouleverser de manière cataclysmique (c’était facile) : l’interface, les combats, le ciblage, l’artisanat, l’économie, le système de quête, la communication et la jouabilité… Oui. Rien que ça !
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