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Il faut “ désexualiser ” les technologiesLa synthèse. La femme est l’avenir de l’homme. Notre avenir étant largement déterminé par les technologies, les technologies sont donc de sexe…

Il faut “ désexualiser ” les technologies

La synthèse. La femme est l’avenir de l’homme. Notre avenir étant largement déterminé par les technologies, les technologies sont donc de sexe féminin. CQFD. Or, la déféminisation du secteur informatique va bon train. Il y a dix ans, les écoles d’ingénieurs comptaient de 30 à 40 % de femmes. Aujourd’hui, la proportion est tombée à 10 %. Pour redresser le tir, l’auteur suggère de s’attaquer aux stéréotypes réducteurs et de promouvoir les métiers du numérique dès le collège. Des entreprises du secteur réfléchissent également à la possibilité d’organiser des Semaines des technologies, inspirées d’initiatives comme La semaine du goût. De tels projets permettraient de faire connaître les métiers de l’informatique auprès du grand public, et des femmes en particulier.Un point de vue de Philippe Hedde, directeur général France de NextiraOne
http://goo.gl/qUQtd

Y a-t-il un pilote dans l’avion du numérique ?

La synthèse. Ce texte est signé RIP, un pseudonyme utilisé, nous dit-on, par “ un des observateurs les plus attentifs des politiques numériques de notre pays ”. RIP, donc, soulève un paradoxe. La campagne présidentielle restera comme celle de l’avènement des réseaux sociaux dans le débat public, alors que dans le même temps, les enjeux du numérique paraissent étrangement absents du débat. Et quand des annonces ambitieuses sont faites, telles que raccorder 100 % de la population française au très haut débit d’ici à 2025, on se demande qui va piloter un tel projet. Enfin, les “ chamailleries de cours d’école de CM2 ” entre le ministre Eric Besson et le président de l’Arcep sur le dossier de la couverture en téléphonie mobile de Free Mobile laissent l’auteur pantois.Une analyse sous couvert d’anonymat de “ RIP ”
http://goo.gl/pl1Ud

Avec Instagram, Facebook va construire son écosystème d’applications

La synthèse. Pourquoi Facebook a-t-il déboursé un milliard de dollars pour acquérir Instagram, une start up créée il y a quinze mois et sans chiffre d’affaires ? Pour constituer son écosystème d’applications web, comme le font déjà Apple (avec iOS), Google (avec Android), et Amazon (avec Kindle Fire), estime l’auteur. En attendant Microsoft, autre acteur potentiel en fonction de la qualité de Windows 8, Facebook doit s’inscrire sur ce créneau des App internet. Avec ce rachat, la société de Mark Zuckerberg enrichit ses compétences et étend son modèle à ce marché incontournable. Instagram est la première pierre de cet édifice.Un billet de George Colony, PDG de Forrester
http://goo.gl/V087c

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La rédaction