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n35 GPS, d’Acer

Un appareil valable uniquement pour un usage occasionnel. Mais son prix est l’un des plus compétitifs.

L’assistant numérique vendu par Acer n’excelle pas comme terminal de géolocalisation. En matière d’efficacité du guidage, les instructions vocales sont intelligibles, mais hachées, les annonces parfois tardives et le modèle
manifeste un retard sur le suivi de rotation des virages.En contrepartie, les points d’intérêt proposés abondent. Les fonctions du logiciel de navigation Destinator 3.0.75_93 testé sont moyennes. En effet, la saisie prédictive se révèle efficace, ce qui permet de consulter une liste
de choix sur simple saisie. En revanche, le logiciel ne gère les codes postaux qu’à la condition de cocher l’option correspondante. Par ailleurs, il n’affiche aucun nom de ville face à ces codes postaux, ce qui rend difficile le choix d’une
destination.Le mode 3D est simpliste, presque symbolique. L’écran, à peine plus lumineux que celui du modèle iPAQ hw6515, souffre par ailleurs de forts reflets. Comme ses concurrents, à l’exception de Typhoon, l’assistant numérique exploite
des cartes d’origine TeleAtlas (France en standard), dont la précision laisse à désirer. Il ne localise pas certaines rues, allées ou lieux-dits de villes, à Suresnes, Viry-Châtillon, Courchevel ou Chatenay-Malabry. Le kit de fixation voiture est
par ailleurs trop rigide, et transmet toutes les vibrations de la voiture.Son prix est le plus compétitif avec celui du modèle de Navman.

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Francisco Villacampa