Passer au contenu

MWC 2015 : les meubles Ikea rechargeront nos smartphones dès le mois prochain

Le fabricant suédois va lancer une gamme de tables, de lampes et de bureaux intégrant la technologie de transmission d’énergie sans fil Qi. Les produits seront disponibles dès le mois d’avril en Europe et en Amérique du Nord.

On n’attendait pas Ikea sur le terrain de la téléphonie mobile ! Le concepteur et vendeur de meubles vient d’annoncer à Barcelone vouloir distribuer dès le mois d’avril en Europe une série de meubles et objets permettant de recharger notamment nos smartphones.

Il s’agit d’une série de tables de chevet, de lampes et de bureaux qui seront compatible avec le standard Qi de transmission d’énergie sans fil développé par le consortium Wireless Power. Cette technologie permet de recharger par induction magnétique les appareils électriques. La puissance peut aller de 0 à 5W. Il suffit donc de poser l’objet sur une table ou un socle pour remettre sa batterie à flot.

Qi serait la technologie de recharge la plus développée à ce jour, disponible dans 3 000 hôtels, restaurants, aéroports, et lieux publics dans le monde. 80 smartphones sont d’ores et déjà compatibles – dont les derniers nés de Samsung, les Galaxy S6 et S6 Edge, ainsi que quelques modèles de véhicules et des accessoires pour mobiles.

« Notre conviction est que les téléphones mobiles sont des éléments essentiels à la vie des gens chez eux et à leur désir de rester connecté. Qi répond à un besoin qui n’est pas encore satisfait d’alimenter ses appareils », a déclaré Bjorn Block, en charge de l’éclairage et de la recharge sans fil chez Ikea.

Asus, HTC, Huawei, LG, Motorola, Nokia, Samsung ou encore Sony font partie des constructeurs qui fabriquent des smartphones compatibles avec la technologie Qi.

A lire aussi :
Retrouvez toute l’actualité du Mobile World Congress 2015 sur 01net.com
Ikea parodie Apple et lance son Bookbook – 04/09/2014

Source :
PR NewsWire

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Amélie Charnay