Passer au contenu

Melting-pot au quotidien pour les équipes de Mars

Taillés pour l’internationale, les projets du groupe agroalimentaire brassent les profils et les nationalités. Le creuset est ouvert à soixante nouveaux collaborateurs.

Il n’est pas rare de trouver chez Mars, dans une équipe projet de trente personnes, une dizaine de nationalités représentées. Et, face à elle, des équipes d’utilisateurs tout aussi internationales. Un véritable melting-pot ! “, commente François Demongeot, directeur technologique Europe. Mondialisation des clients, mondialisation des activités : Mars vit résolument son informatique sur le mode international. Ses projets sont taillés à cette cote. L’une des priorités de l’année du leader mondial de la confiserie est la définition d’un système ERP global pour toutes les activités du groupe. “Après la phase centralisée, nous attaquons le design des fonctions.”Et comme, à cette dimension, il s’agit de ne jamais perdre le contact, un autre projet, côté télécoms, table sur les VPN pour assurer des infrastructures de communication à plus haut débit. “Le projet est en cours de réalisation.” Un plus pour une entreprise où l’on n’aime pas se perdre de vue. “Depuis mon bureau de Strasbourg, je peux apercevoir mon bureau de Londres : Mars pratique la vidéo permanente et à grande échelle, et la messagerie instantanée.” Le dispositif correspond à l’organisation que s’est donnée le groupe alimentaire – “européenne et virtuelle. Mars n’a pas véritablement de siège. C’est une entreprise multiforme “.

Rien de virtuel, en revanche, dans les équipes. “Nous recrutons sur tous les types de métiers : de projet, de support, les métiers technologiques. Puisque nous en couvrons tout le spectre.” Rien de virtuel non plus dans les carrières. “Pas de ” golden parcours ” dans l’entreprise. Tous les collaborateurs ont et doivent avoir un traitement égal dans leur développement de carrière, dans leurs conditions de vie d’entreprise.” Le principe mêle souvent évolution de poste et mobilité géographique. “Notre responsable support applicatif ventes aux Etats-Unis avait entamé sa carrière comme analyste-programmeur sur le site d’Orléans. Entre deux, il avait assuré les fonctions de chef de projet européen dans les systèmes forces de vente.”Rejoindre les rangs des fonctionnels fait également partie des possibles. “On peut, par exemple, entrer comme analyste sur un projet, se transformer en chef de projet gestion de production et se retrouver responsable de l’ordonnancement dans une usine de confiserie.” Pour le dessert, en quelque sorte. Après s’être laissé tenter par cette “gastronomie et ces côtes de vignobles alsaciens” que François Demongeot aime à vanter auprès des candidats hésitant devant la perspective d’un détour régional.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Annick Le Berre