Passer au contenu

Meizu présente le M3, son nouveau smartphone d’entrée de gamme

Meizu vient d’annoncer le M3, un smartphone premier prix qui se décline en deux versions et cinq couleurs.

Le fabricant chinois Meizu boucle un mois d’avril agité en présentant le M3, successeur du convaincant M2. Mais après l’ultra-puissant Pro 6 et le grand M3 Note, c’est à un vrai appareil d’entrée de gamme auquel on a droit. Esthétiquement, on note peu de différences avec son prédécesseur, malgré l’arrivée de verre 2,5D qui colle aux bords légèrement bombés. Une fois de plus, les couleurs sont à l’honneur puisque le M3 se décline en bleu, blanc, rose, gris et doré.

Meizu propose un écran IPS 5 pouces HD, comme sur le M2, avec une luminosité annoncée de 380 cd/m² et un taux de contraste affiché de 1 000:1. La puissance est revue à la hausse avec l’arrivée d’un processeur MediaTek MT6750 à huit cœurs contre quatre l’an dernier. L’appareil se décline en deux versions. La première a droit à 2 Go de mémoire vive et 16 Go de stockage, contre respectivement 3 et 32 Go pour la seconde.

Meizu – Les différents coloris du Meizu M3

Côté photo, le M3 fait dans le classique avec un capteur principal de 13 Mégapixels – avec une ouverture à f/2,2 – et 5 Mégapixels en façade. Il est par ailleurs équipé de deux ports nano SIM, dont un pourra aussi servir à embarquer une carte microSD.

Mais la nouveauté la plus intéressante de ce smartphone pourrait être sa compatibilité avec les fréquences de 800 MHz, utilisées en France par nos opérateurs pour la 4G. La couverture réseau pourrait donc être améliorée… si l’appareil venait à débarquer dans l’Hexagone. Pour le moment, le site officiel de Meizu France n’en fait pas mention.

On peut espérer qu’il y fasse son apparition dans les prochaines semaines. Avec un tarif équivalent à 80 et 110 euros (taxes non comprises) selon les versions, le Meizu M3 a les armes pour offrir un rapport qualité-prix aussi intéressant que le M2.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Raphaël GRABLY