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Machinarium : les prix de l’indépendance (5/6)

La GDC et le Festival des jeux indépendants, c’est la semaine prochaine. Nous terminons presque notre petite présentation par Machinarium, un superbe jeu d’aventure…

Après avoir fait parlé d’eux en 2003 avec les deux épisodes de Samorost, que nous présentions il y a quelques jours, les tchèques d’Amanita Design sont revenus en 2009 avec un nouveau projet intitulé Machinarium. A nouveau un jeu d’aventure en point’n click dans la plus pure tradition du genre mais avec une patte graphique, une touche onirique et une vision décalée qui plongent immédiatement le joueur dans un monde où tout échappe à l’habitude.

A la croisée de plusieurs univers pour ce qui est des graphismes en 2D, avec des arrières-plans superbes, on pense notamment un peu à Tim Burton, Imaginarium vous place dans la peau d’un petit robot qui, pour (re)trouver le bonheur, doit affronter les maléfiques robots de la Confrérie des chapeaux noirs. Comme dans toute bonne histoire, il devra sauver si ce n’est le monde du moins des personnes importantes, comme le maire de la ville et sa petite amie robot… Car, depuis Asimov, les robots aussi ont le droit d’aimer.

Pour la bande son, l’équipe d’Amanita Design a fait appel au même compositeur que pour Samorost 2, Floex. Et, franchement, on ne voit (entend) aucune raison valable pour que ce studio indépendant demande à quelqu’un d’autre…

Machinarium a remporté le prix de l’Excellence in Visual Art lors du Festival des jeux indépendants en 2009.

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Pierre Fontaine