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Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…

Sony – SRS-DB500On aime… les réglages immédiatement accessibles Les réglages du volume, des graves et des aigus sont disposés en haut de la façade du caisson…

Sony – SRS-DB500

On aime… les réglages immédiatement accessibles
Les réglages du volume, des graves et des aigus sont disposés en haut de la façade du caisson de basses. Si vous installez celui-ci à vos pieds, ce qui est conforme à la conception de ce kit et recommandé par le fabricant, ces réglages seront alors à portée de main, tout comme les prises d’entrée et de sortie audio au format mini-jack.

On aime… la reproduction des graves
Comme on peut le voir sur le graphique, le Sony SRS-DB500 ne néglige aucune partie du spectre sonore. Sa courbe de bande passante est remarquablement régulière, notamment dans les graves – entre 50 et 100 hertz. Et de fait, à l’écoute, la restitution des basses nous a paru la plus probante et la plus efficace par rapport à celle offerte par les autres modèles du présent comparatif.

On aime… la télécommande sans fil
C’est le seul kit de ce panel à être fourni avec un accessoire pourtant assez commun pour d’autres catégories de matériels : une simple télécommande sans fil ! Le qualificatif « sans fil » peut sembler dérisoire, mais il faut savoir qu’en matière d’enceintes, le boîtier de commande filaire reste encore la règle. Minimaliste, mais suffisante, la télécommande infrarouge du kit Sony donne accès à tous les réglages et paramètres .

On aime et on n’aime pas… l’éclairage façon « K2000 »
Impossible de manquer le bouton de volume de ce kit. Il se trouve en façade du caisson de basses, tout en haut, et s’illumine d’un cerclage orange qui clignote et luit avec la musique. Certains aimeront, d’autres y verront une pollution lumineuse de plus.

On n’aime pas… les fils reliant les enceintes
Même si cela n’a au final pas de répercussions sur la qualité sonore, les câbles qui relient les satellites au caisson de basses sont très fins et on peut douter à termes de leur solidité. Evitez de tirer dessus lorsque vous déplacez les satellites !

Philips – SPA9350

On aime… l’entrée auxiliaire au format RCA
En plus de la classique entrée ligne au format mini-jack, ce kit Philips propose une seconde entrée audio stéréo prenant la forme de deux connecteurs RCA. Un bon point, car elles sont plus solides et assurent une meilleure transmission du signal, avec moins de parasites et de bruit de fond. En outre, beaucoup d’appareils hi-fi (amplis, mini-chaînes, téléviseurs) sont encore pourvus de ce type de prises. Du coup, il ne manque à ce kit qu’un connecteur USB pour offrir une connectique complète.

On aime… le module central
Sur l’unité amplificatrice déportée, qui fait également office de panneau de contrôle et de branchements, l’utilisateur jouit d’une accessibilité aux réglages inégalée. A noter la présence d’un sélecteur d’entrée audio, qui permet de choisir entre MP3 (entrée mini-jack pour baladeurs), PC (seconde entrée mini-jack) et AUX (entrée RCA).

On aime et on n’aime pas… le rendu sonore
Assez équilibré pour ce qui concerne les fréquences médiums et aiguës du spectre sonore, le Philips pèche par des basses trop en retrait et un volume sonore général clairement insuffisant pour faire, même légèrement, trembler les murs. Pour les basses qui font « boom, boom » et les infrasons qui vous secouent la cage thoracique, il faudra repasser.

On n’aime pas… les haut-parleurs sans protection
Au niveau du design, laisser les haut-parleurs apparents et sans protection peut se comprendre. Surtout quand celui du caisson de basses vibre sous les coups de boutoirs d’un solo de batterie. Ce n’est en revanche pas la meilleure idée qui soit pour leur protection : attention aux coups de pied dans le boomer.

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David Namias