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Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…

Iiyama Prolite B2209HDS-1On aime… le mode portrait Cet écran se distingue de tous les autres par la grande qualité de son pied, réglable en hauteur et…

Iiyama Prolite B2209HDS-1

On aime… le mode portrait
Cet écran se distingue de tous les autres par la grande qualité de son pied, réglable en hauteur et qui permet de faire pivoter l’écran latéralement à 90°, pour un affichage en mode portrait. Celui-ci est particulièrement apprécié des graphistes ou de ceux qui rédigent des textes de plusieurs pages. La qualité de fabrication est sans défaut, les mouvements sont souples et silencieux, l’ensemble respirant la solidité.

On aime… la stabilité du pied
La base du pied du Prolite B2209 HDS-1 est particulièrement bien conçue. A la fois simple, plate et ronde, elle est surtout suffisamment grande et massive pour apporter une très grande stabilité à l’écran. Un détail indispensable pour modifier en toute sécurité la position de la dalle de son moniteur.

On aime… les haut-parleurs stéréo
Pour économiser de la place et surtout des câbles, il est appréciable de disposer de deux haut-parleurs intégrés dans son moniteur. C’est aussi très utile lorsque l’on branche une autre source vidéo sur l’entrée HDMI du moniteur, comme un baladeur multimédia ou un lecteur Blu-ray.

On aime… la finesse du cadre de l’écran
Les bordures qui entourent la dalle de ce moniteur mesurent seulement 16 mm de large, ce qui est très peu. Comme on le voit sur ces deux écrans placés côte à côte, le cadre du llyama (à gauche) est beaucoup plus fin que celui du modèle AOC (à droite). C’est un plus indéniable, surtout pour travailler ou jouer sur deux écrans à la fois, l’écart entre les deux dalles étant réduit d’autant. Sans être pour autant un exploit, la réalisation d’un cadre aussi fin est difficile et coûteuse pour le fabricant.

On n’aime pas… l’absence de port USB
On aurait apprécié la présence d’au moins un port USB sur ce moniteur, qui n’est pas le moins cher des onze modèles. Il aurait ainsi été possible d’y raccorder directement un périphérique, plutôt que de se mettre à quatre pattes pour le brancher sur l’unité centrale.

Dell ST2210

On aime… le menu des réglages
L’interface OSD de cet écran s’inscrit dans la plus pure tradition de Dell. Les touches situées sur le côté ne sont pas tactiles sur ce modèle – ce sont de simples boutons – mais le menu des réglages, affiché en bas de l’écran, est ergonomique, facile d’utilisation et très réactif. Les options sont nombreuses et l’interface, bien conçue. Rien à redire.

On aime… le taux de contraste
Si la luminosité mesurée à 183,3 candelas par mètre carré est modeste (mais suffisante), notre labo a mesuré un taux de contraste remarquable de 1 222:1. Cela signifie que les noirs affichés par cet écran sont très peu lumineux, plus proches du noir que du gris foncé. Une caractéristique assez rare sur les écrans LCD, surtout à ce prix, ce qui mérite d’être dûment salué.

On aime… le design de la face arrière
Tout de blanc vêtu, le look de ce moniteur n’est pas sans rappeler celui épuré des produits Apple. L’arrière de la coque est très réussi, avec la marque bien en évidence au centre d’une surface lisse et arrondie. Certes, le matériau – du plastique blanc – n’a rien de particulièrement luxueux, mais le résultat final est une réussite.

On n’aime pas… les boutons sans indication
Certes, l’interface du menu des réglages de ce moniteur est bien conçue et adaptée à ce type de boutons, mais l’absence d’indication oblige l’utilisateur à se pencher pour vérifier qu’il appuie bien sur la bonne commande, notamment pour l’activation d’un raccourci qu’il a lui-même défini.

On n’aime pas… le pied trop basique
Pour rogner sur les coûts de fabrication et proposer un moniteur performant à bas prix, Dell a opté pour un pied très basique, qui permet uniquement d’incliner l’écran d’avant en arrière. Or si le pivot en mode portrait n’est pas une obligation, le réglage en hauteur, quant à lui, reste très utile pour petits et grands !

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Bruno Cormier