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Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…

Sony – Vaio VPC-L11M1E/SOn aime… le bouton d’extinction de l’écran A côté du bouton d’allumage du PC, on en trouve un autre qui ne désactive que…

Sony – Vaio VPC-L11M1E/S

On aime… le bouton d’extinction de l’écran
A côté du bouton d’allumage du PC, on en trouve un autre qui ne désactive que l’écran. Pour réduire la consommation électrique, lorsqu’on s’absente momentanément, c’est plus efficace que de laisser l’écran allumé avec l’économiseur de Windows activé.

On aime… la qualité audio
Que ce soit pour la musique ou le cinéma, le système sonore du Vaio est plus que convaincant. Avec une puce prenant en charge l’effet Dolby Surround Theater (effet surround virtuel) et des enceintes stéréo de qualité, c’est un vrai régal pour les oreilles. Et si vous souhaitez encore améliorer le rendu, une sortie audionumérique S/PDIF est à disposition pour le raccordement à un kit d’enceintes home cinéma.

On aime… la possibilité d’étendre la mémoire
Quasiment tous les PC monoblocs sont de véritables forteresses inviolables : impossible d’ajouter un disque dur, de changer le processeur ou d’améliorer les capacités graphiques. Ce Vaio vous permet d’ajouter jusqu’à 8 Go de mémoire aux 4 Go déjà présents, grâce aux deux connecteurs libres pour barrettes de mémoire, accessibles depuis l’arrière de la machine. De quoi tirer le meilleur des capacités du système d’exploitation 64 bits fourni.

On n’aime pas… l’absence de télécommande
Bien que ce PC multimédia puisse trouver sa place dans un salon, Sony a fait quelques économies, dont celle de la télécommande Media Center. Vraiment dommage au vu du prix de la machine.

On n’aime pas… le niveau sonore
Ce PC se hisse à la première place de notre podium grâce, notamment, à sa puissance « sous le capot ». Mais celle-ci se fait entendre ! Le système de ventilation ronronne parfois assez fort, sans qu’il soit nécessaire pour cela de solliciter fortement l’ordinateur. C’est regrettable pour un PC multimédia censé pouvoir élire domicile dans une salle de séjour.

Packard bell – OneTwo M U5123FR

On aime… l’interface adaptée au tactile
Packard Bell a réfléchi à un moyen d’adapter les fenêtres de Windows 7 à l’interface tactile sans que l’utilisateur ait à se lancer dans de longs paramétrages. Après l’installation des « composants Packard Bell » et le redémarrage du système, les icônes de fermeture, de réduction et d’agrandissement seront sensiblement agrandies, pour une meilleure réponse aux éventuelles sollicitations tactiles.

On aime… le prix
Packard Bell frappe fort avec le prix du One Two M : pour 20 euros de plus que l’Inspiron One 19 Touch, la dalle et la définition d’écran sont plus grandes, la consommation électrique moindre et la qualité audio des petites enceintes bluffante.

On aime… le lecteur de DVD discret
Packard Bell n’est pas très friand de lecteurs optiques à tiroir sur ses tout-en-un. Le constructeur a doté les deux modèles One Two de notre comparatif d’un lecteur/graveur de DVD au format Slot-In : une simple fente dans laquelle le disque, à peine inséré, est « aspiré » automatiquement. Esthétique, ce lecteur est également très silencieux. A l’utilisation, aucun bruit mécanique important ne se fait entendre, que ce soit lors de la lecture d’un DVD ou pendant la gravure, même à grande vitesse.

On aime… la capacité de stockage
La capacité du disque dur du One Two M est conséquente : 640 Go. Et pour ne rien gâcher, la vitesse de rotation élevée (7 200 tours/min) et l’interface S-ATA assurent des débits importants.

On n’aime pas … le clavier et la souris filaires
Il est vraiment dommage qu’une machine aussi aboutie par ailleurs que le One Two M de Packard Bell soit livrée avec un clavier et une souris filaires. Ils monopolisent un port USB chacun, réduisant le nombre de ports libres à quatre. En outre, tous deux sont faits d’un plastique commun. La frappe du clavier est molle et peu agréable. Quant à la souris, sa morphologie réduite ne convient pas à toutes les mains.

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Aymeric Siméon