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Les vainqueurs…

Sony – PRS-650 Touch Edition : pour retrouver le plaisir de lireBien que dépourvue de liaison sans fil, la liseuse phare de Sony remporte notre comparatif…

Sony – PRS-650 Touch Edition : pour retrouver le plaisir de lire

Bien que dépourvue de liaison sans fil, la liseuse phare de Sony remporte notre comparatif grâce à un affichage sans défauts et une ergonomie à toute épreuve pour les fonctions essentielles.

On aime… les touches en renfort du tactile
La réactivité de l’écran tactile de cette liseuse s’avère excellente et, pour les fonctions principales, Sony a eu la bonne idée d’intégrer quelques discrets boutons sous l’écran : pour tourner les pages, pour accéder au menu principal et aux options, ou pour zoomer. Pratique en hiver lorsque l’on souhaite garder ses gants.

On aime… les deux lecteurs de cartes
Malgré sa solide mémoire flash interne libre (1,6 Go), le PRS-650 lit non seulement les cartes mémoire SD – plus répandues que les MicroSD – mais également, au travers d’un second emplacement, les cartes Memory Stick Duo de Sony. La plupart des utilisateurs n’auront donc pas besoin de se déplacer en magasin.

On aime… le menu principal
Tout en réunissant un maximum d’informations en un minimum de place – l’accès par exemple au dernier livre consulté, à la bibliothèque, aux notes, aux applications ou aux paramètres –, le menu principal séduit par la clarté de son organisation.

On n’aime pas… l’absence de transfert sans fil
Comme toutes les liseuses de la marque, le PRS-650 est dépourvu de connectique 3G, Wi-Fi et même Bluetooth. Les transferts d’e-books achetés sur le Web s’effectuent au travers d’un câble USB livré avec l’appareil. Pour faciliter les achats, Sony propose, via l’installation d’un logiciel, l’accès à une plate-forme collaborative réunissant plusieurs librairies.

Chapitre et France loisirs – Oyo : un e-book à la portée de tous

La liseuse la moins chère du marché n’en est pas pour autant dépourvue d’attraits technologiques et littéraires. Seul son écran peu contrasté déçoit mais sans que cela soit rédhibitoire.

On aime… les touches de grande taille
L’Oyo n’intègre que quatre touches mais elles ont été affectées aux fonctions essentielles. Deux d’entre elles sont consacrées au feuilletage des pages – un bon point face au FnacBook qui en est dépourvu – et les deux autres servent à l’extinction et à la mise en veille ainsi qu’à l’accès à la bibliothèque.

On aime… l’achat de livres en Wi-Fi
A condition d’être à proximité d’un point d’accès Wi-Fi, il est possible de télécharger ses livres sur chapitre.com, proposant un fonds de 3 000 titres, directement depuis la liseuse. Très pratique lorsque l’on n’a pas d’ordinateur à portée de main.

On aime… le menu à onglets
Le menu principal, très clair, met en avant les derniers livres lus, l’accès à la librairie en ligne Chapitre et surtout à la bibliothèque personnelle. Cette dernière bénéficie d’un classement particulièrement agréable et pratique, par titres, auteurs et derniers ouvrages consultés, l’accès s’effectuant au travers d’onglets.

On n’aime pas… l’écran sombre et peu réactif
En matière d’encre électronique, ce livre numérique s’appuie sur la technologie SiPix. L’écran s’avère un peu sombre et pas assez contrasté. D’autre part, la dalle tactile de type capacitif – donc manipulable au doigt – manque de réactivité.

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Stéphanie Molinier et David Namias