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Les start-up françaises plébiscitent les stock-options

Selon le cabinet Arthur Andersen, 80% des start-up françaises du secteur des télécoms et de l’Internet sont favorables aux stock-options pour compenser les salaires peu élevés de leurs salariés.

Selon le cabinet Arthur Andersen, 80% des start-up françaises du secteur des télécoms et de l’Internet sont favorables aux stock-options pour compenser les salaires peu élevés de leurs salariés.


Le facteur-clé du succès des start-up est le recrutement d’un personnel adapté et compétent, explique le cabinet de conseil. Pour motiver leurs équipes, 80% des dirigeants de start-up ont mis en place ou envisagent un plan d’actionnariat sélectif, c’est-à-dire très individualisé, au sein de leur entreprise.


L’étude d’Andersen décrit également l’origine des investissements lors de la création de ces entreprises. Lactionnariat privé y est très largement majoritaire (48% des capitaux), suivi par les sociétés du secteur des télécoms (28%). Les capitaux-risqueurs restent relativement discrets (10% du montant initial), préférant attendre le second tour de table.

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La rédaction