L’affaire politique Méry, menée de main de maître par Le Monde, a mis en évidence la complémentarité entre média papier et site web, mais aussi le retard pris par Le Figaro qui ne disposait pas, jusqu’à présent, de site internet digne de ce nom.Fondé en 1826, ce grand quotidien s’est entouré d’une équipe indépendante de 30 personnes, dont une moitié de journalistes, pour animer son site. Objectif : concurrencer les plus grands web de la presse quotidienne, en place depuis plusieurs années. À ce jour, aucun chiffre n’a été délivré quant aux moyens dégagés pour y parvenir. Composé de 3 rubriques (“Actualité”, “Économie” et “Art de vivre”), lefigaro.fr ne propose qu’une sélection des articles de l’édition papier, l’équipe rédactionnelle du site rédigeant l’essentiel du contenu en ligne.Le groupe de presse a retenu la plate-forme de publication IPS dOpenMarket. Les textes sont stockés au format XML et une diffusion sur Wap est envisagée.lefigaro.fr
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