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Lara Croft et le Temple d’Osiris : on y a joué pendant quelques heures et on adore

En attendant un test plus poussé, voici nos premières impressions sur le successeur de Guardian of Light, Lara Croft et le Temple d’Osiris.

Les nouvelles aventures de Lara Croft sont arrivées ! Attention, on ne parle pas de la série Tomb Raider mais bien des aventures de Lara Croft. La différence ? Le premier est un jeu d’aventure à la troisième personne, le second un jeu d’aventure en 3D isométrique, caméra embrassant une situation dans son ensemble. Et, alors que la séduisante archéologue fait cavalier seul dans les Tomb Raider, elle est épaulée par un à trois alliés dans les épisodes de Lara Croft.
De sortie depuis ce matin, Lara Croft : Le Temple d’Osiris est disponible sur Xbox One, PS4 et PC. Et il vaut le coup et le coût. Pas très cher, il est vendu entre 20 et 40 euros selon la version et la plateforme et, croyez-nous, cet opus aurait bien mérité sa place dans notre sélection de jeux vidéo de la fin d’année.

Collaboratif et compétitif

Le Temple d’Osiris succède au Gardien de la Lumière sorti il y a maintenant 4 ans. Le style de jeu est le même. On peut donc y jouer à plusieurs en ligne ou dans la même pièce. La dimension collaborative est importante mais, pas seulement. Il y a aussi des modes de jeu incluant des défis individuels à relever comme, par exemple, collecter un grand nombre de cristaux valant un nombre défini de points. Et il faut éviter de mourir bêtement pour ne pas perdre de multiplicateurs ou des bonus. A la fin d’un niveau, vous et vos éventuels alliés avez un décompte de vos prouesses afin de comparer vos performances. Bien entendu, les coups bas sont permis : Lara Croft a un grappin et ses partenaires peuvent jouer au funambule dessus. Rien ne l’empêche de décrocher la corde pour faire tomber son comparse et ainsi réduire les multiplicateurs.

Plus le nombre de joueurs impliqués dans une partie est important, plus les défis sont difficiles et les monstres coriaces. Les puzzles se complexifient également. Nous avons pu le constater par nous-même lors de notre petite heure de prise en main, confortablement installé sur un canapé avec un paddle de PS4 dans les mains et…. des chocolats à portée de main, en cas de coup(s) dur(s).

Guardian of Light 2.0 quatre ans après ?

Tout d’abord et sans détour, nous avons adoré notre premier contact avec le Temple d’Osiris. Les décors sont sympathiques, l’évolution à deux ou quatre joueurs vraiment plaisantes, surtout quand vos comparses sont dans la même pièce. En matière de coup de bas et de petites vacheries, nous ne sommes pas à court d’idées en général donc nous avons commis quelques petites bassesses sur nos alliés/adversaires, tout en gardant à l’esprit qu’ils étaient utiles dans certains cas. Gniark gniark.

Nous avons traversé quelques parties du Temple du dieu égyptien, semées d’embuches et de momies. Dans certains endroits que vous débloquez en résolvant des puzzles ou énigmes, vous trouvez des parties du corps d’Osiris. Celle-ci s’entrepose dans une grande pièce qui sert de point de départ de chaque chapitre de l’aventure. Vos amis veulent jouer avec vous ? Pas de souci, ils peuvent vous rejoindre et s’en aller quand ils le souhaitent. C’est assez magique.

Lorsque vous jouez à deux, le premier joueur incarne Lara ou Carter, deux pilleurs de tombe, et le second, Isis ou Horus. Chaque personnage peut équiper des objets magiques et des armes améliorant ses statistiques ou augmentant son pouvoir de destruction. Nous devons bien avouer que voir Isis avec un fusil mitrailleur dans les mains et tirer des chargeurs entiers sans s’émouvoir est un peu surprenant, mais… passons.
Nous vous proposerons bientôt un test mais, nous pouvons déjà vous dire que si vous avez joué aux Gardiens de la Lumière, vous ne serez pas dépaysé. C’est du copier-coller ou pas loin, on retrouve quelques soucis de perspectives, surtout dans les phases de grimpette. Il n’y a que l’aptitude du jeu à complexifier les situations en fonction du nombre de joueurs actifs dans la partie qui demeure prometteur. Notre verdict dans quelques jours.

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Aymeric Siméon