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La signature électronique

Droit, technologie, produits du marché ou conduite de projets. Tels sont les aspects complémentaires traités dans cet ouvrage pragmatique, assorti d’une grille de lecture.

La signature électronique“intéresse tous ceux qui sont responsables de la naissance de nouveaux business models “, car ces derniers sont le fruit d’une coopération entre techniciens, juristes et managers.Dans un premier temps, l’ouvrage général de la signature digitale est posé ?” en termes techniques, puis dans ses aspects juridiques. La signature électronique se compose de quatre éléments fondamentaux : la déclaration d’identité, assurée par les certificats détenus par les tiers de confiance, la liaison entre l’identité et le contenu de l’écrit numérique, le chiffrement des données, et l’horodatage. Ces fonctions définissent des architectures elles-mêmes composées de sous-systèmes, tels les serveurs de certificats ou d’archivage.La mise en ?”uvre de cette infrastructure de confiance fait l’objet de la seconde partie. Soit l’entreprise se situe au niveau de l’utilisateur des services de confiance, soit elle intervient en tant que prestataire. Mais, quel que soit son positionnement, l’entreprise s’attachera à vérifier la fiabilité du système via un ensemble d’exigences de qualité de service, définies dans les textes réglementaires français et européens. Applications spécifiques C++ ou Java, messagerie électronique, formulaire et signature XML, formulaire HTML sécurisé, infrastructures de transactions…Les technologies qui emploient ou supportent la signature digitale présentent des avantages différents, qui sont analysés en détail. Conduite de projets, exemples d’implémentation et nombreuses annexes viennent compléter ce panorama dun outil fondamental du commerce électronique.

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