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La gestion de performances des processus métiers selon Systar

Le développement des activités e-business a poussé l’éditeur français à évoluer de la gestion de performances sur grands systèmes vers le BPPM.

La notion de gestion des performances se diversifie. Des outils d’administration de réseaux à la gestion des environnements distribués, les indicateurs de qualité de service avaient tendance à se polariser sur les aspects matériels.L’avènement du BPPM (Business process performance management), ou gestion de performances des processus métiers, “va modifier l’approche des entreprises en leur faisant prendre conscience de l’importance du contrôle de ces processus”, explique Philippe Quénault, directeur général Europe de Systar. “Le marché du BPPM devrait être mûr dans deux ans”, estime-t-il.À travers son produit phare, BusinessBridge, Systar propose une gamme d’applications prêtes à être paramétrées suivant l’entreprise visée ?” l’éditeur français est présent essentiellement dans les secteurs de la finance, des télécommunications et de la grande distribution.

Un contrôle du processus en temps réel

Une méthodologie spécifique permet d’analyser le processus métiers et de développer ?” sans apporter de modifications aux infrastructures existantes ?” des solutions personnalisées, enrichies par une bibliothèque de tableaux de bord adaptés aussi bien aux besoins du pilotage informatique qu’à ceux des lignes métiers et des indicateurs de performances. L’application autorise le contrôle de la qualité de service des processus critiques de l’entreprise en temps réel.Pour environ 152 450 E (moitié pour le logiciel et moitié pour le service), Systar met ou fait mettre en ?”uvre par Atos, Apogée ou DMR Consulting une solution pilotée par un Intranet.

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André Eymard