A l’avenir, la question centrale concernera l’évolution du réseau vis-à-vis des hauts débits. Nous envisageons un changement d’architecture car déjà, sur certains points du réseau, nous frôlons la surchauffe sur des liaisons Numéris ‘, constate Jean-Marc Kérilis. L’ADSL, qui est déjà en test au conseil régional d’Ile-de-France, est envisagé et apparaît comme ‘ une solution prometteuse, qu’Oléane sait gérer ‘. En outre, cette solution engendre le ‘ même coût que celle dont nous disposons, mais apporte une qualité bien supérieure (débits de 512 Mbit/s) ‘, observe Jean-Marc Kérilis. Quant à l’Extranet, qui interconnecte les différents partenaires, son avenir est actuellement en discussion. Faut-il s’appuyer sur le futur réseau Renater 2 (réseau à hauts débits), qui deviendrait ainsi tout naturellement le fournisseur d’accès Internet du conseil régional, ou faut-il lancer un appel d’offres en direction des opérateurs alternatifs, dont les solutions sont, à l’heure actuelle, techniquement plus avancées ? Par ailleurs, l’Extranet devrait prochainement s’équiper d’un logiciel de traçabilité, afin de garantir une meilleure disponibilité du réseau. Il s’agit avant tout de se prémunir contre les attaques de type déni de service, qui perturbent les systèmes et les empêchent de fonctionner correctement. D’autre part, un logiciel de supervision permettra de mieux mesurer les flux sur le système d’information.
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