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Hard to be a God

Si cet univers est beau, on attaque le jeu sans introduction explicative. Déroutant. Ensuite, on découvre des quêtes sans grand intérêt et un système de combat peu convaincant. Décevant.

‘ Difficile d’être un Dieu ‘, nous explique ce jeu. ‘ Difficile de créer un jeu de rôle ‘, aurait-on envie de lui répliquer ! On est
extrêmement surpris de se retrouver d’emblée plongé dans l’action sans aucune séquence d’introduction.Les mécanismes du jeu n’aident pas à cette identification, et aucun choix de race, de nom, de caractéristiques n’est proposé, alors que c’est le cas en général dans les jeux de rôle. On déambule donc dans Araknar (le monde) en suivant
une trame linéaire parsemée de quêtes secondaires sans grand intérêt. On se fraye un chemin, sans vraiment y croire, à grands coups de clics, les options tactiques de combat plutôt rébarbatifs se réduisant à cela. Enfin, on finit par bailler d’ennui
avant de comprendre de quoi il en retourne.

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Stéphane Viossat