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Flagrant délit d’erreur 49

J’avais décidé cette semaine de vous raconter une petite anecdote autour de l’arnaque nigériane, laquelle ne s’est jamais aussi bien portée (voir page 6). Je trouve l’étude en question sur Internet, je l’imprime et commence à la potasser.

J’avais décidé cette semaine de vous raconter une petite anecdote autour de l’arnaque nigériane, laquelle ne s’est jamais aussi bien portée (voir page 6). Je trouve l’étude en question sur Internet, je l’imprime et commence à la potasser.Une vingtaine de pages.Quelques minutes plus tard,mon collègue Jean-Marie remet une ramette de papier dans l’imprimante, qui reprend aussitôt son travail d’impression, puis il s’écrit : «Mais qui imprime un livre??» Eh bien, figurez-vous que c’était moi : l’étude dans laquelle j’étais plongé ne faisait pas 20 pages mais…225! (c’est ce qui était indiqué dans le pied de page). Du coup, ça n’a pas traîné, l’équipe est partie d’un éclat de rire en me faisant remarquer que j’avais commis l’erreur 49. L’erreur 49 ? Oui, celle de notre dossier de cette semaine, sur ces petites choses qu’il ne faut pas faire avec son PC (voir page 16). Un dossier que j’avais quand même relu quelques heures auparavant. Bon,OK… Faites ce que je dis, pas ce que je fais ! Au fait, petite précision : les pages imprimées ont été recyclées bien sûr!

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Hervé Cabibbo